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30/05/2015

Compost et autres fumisteries

Avis d'un économiste à propos de l'a-démocratie française et du compost qui n'existe pas.

|=>L'a-démocratie Française

|=> L'économiste en question : membre d'une commission et d'un club

|=> La commission en question

11/11/2014

Le pouvoir démentiel de la télévision sur les masses

Voilà le vrai pouvoir de la télévision.




01h30 pour définitivement se débarrasser des doutes sur l'influence des merdias.
débrancher sa télé, couper la radio, et ne plus lire les presses.

Il ne suffit pas de se couper des journaux informations pour être mis à l'abris du bain d'influence mondialiste, et de l'auto culpabilisation :
la propagande infuse par toutes les pores de toutes sortes d'émissions dont évidemment, celles de variétés, de débats, de cultures, de musiques etc ..


On imagine aussi le pouvoir de la radio et de la presse.
D'ailleurs dans toutes les guerres et les coups d'Etat, disposer des médias est essentiel.
Ce n'est pas pour rien : c'est une arme de guerre en soi, et sans doute la principale.

Algérie ----> France : 300 000 visas

D'abord l'article de métamag évoqué dans une note précédente.

Une seconde partie de la note, creusera un rien les conséquences (évidentes) de cette augmentation de visas de circulation

I) La demande de Laurent Fabius

|=> Algérie - > France de plus en plus de visas

L'ambassadeur de France en Algérie l'a confirmé : plus de 300 000 visas seront attribués aux Algériens avant fin 2014. C'est un des objectifs que l'ambassade de France en Algérie s'est fixé.

Bernard Emié, ambassadeur et haut représentant de la France en Algérie, parle ainsi d'une croissance significative du nombre de visas attribués aux Algériens : «Le nombre de visas attribués a connu une croissance significative avec 210 000 délivrés en 2013. La hausse va se poursuivre en 2014 avec probablement plus de 300 000 visas délivrés ». De fait, 75% des demandes reçoivent maintenant une réponse positive dans les trois consulats généraux français en Algérie. L'Ambassadeur insiste sur le fait que la France a « consenti des efforts importants ces dernières années dans trois domaines, pour faciliter toujours davantage la mobilité des personnes ».

Les domaines en question se rapportent, en premier lieu, au traitement personnalisé des demandes de visa émises par certaines catégories professionnelles telles que les journalistes, les avocats, les médecins ainsi que les employés des institutions et des entreprises. Le deuxième progrès important concerne la durée de validité des visas de court séjour. « A la demande de Laurent Fabius, ministre des Affaires étrangères et du Développement international, nous accordons depuis un an un nombre croissant de visas de circulation, qui représentent à présent près de 50% du total des visas attribués, et qui permettent de se rendre régulièrement en France et dans l'espace Schengen sur une période de plusieurs années, sans être obligés de demander un nouveau visa», explique l'ambassadeur de France dans un entretien à l'Agence algérienne d'information, APS.

Il confirme aussi que les services du consulat de France font face à une augmentation très importante de demandes de l'ordre de 35%. «Nous sommes ainsi passés entre l'automne 2013 et le printemps 2014, pour le seul consulat général d'Alger, de 900 à 1.200 dossiers traités par jour. J'ai donné instruction pour que nous poursuivions dans ce sens, avec un objectif de 1.500 dossiers traités par jour d'ici la fin 2014. L'objectif est simple : permettre davantage d'échanges humains entre nos deux pays pour favoriser nos échanges économiques, culturels et touristiques», a encore indiqué Bernard Emié.

Concernant les relations bilatérales tissées entre l'Algérie et la France, le diplômate fait aussi savoir que le développement des relations économiques est au cœur de sa mission. «Renforcer notre partenariat est pour nous une priorité stratégique. Nous sommes déjà le deuxième partenaire économique de l'Algérie avec des échanges s'élevant à 10 milliards d'Euros en 2013. Nous sommes le premier investisseur hors hydrocarbures et le premier employeur étranger. (...) Mon ambition - je ne suis pas sûr d'y parvenir mais j'y travaillerai sans relâche -est que nous redevenions le premier partenaire économique dans tous les domaines», a-t-il déclaré.

Enfin, son Excellence Emié a évoqué bien sûr la réunion du Comité mixte économique algéro-français (Comefa) qui se réunira ce 10 novembre prochain à Oran en présence du Premier ministre algérien Abdelmalek Sellal et des ministres français Laurent Fabius et Emmanuel Macron en charge respectivement des Affaires étrangères et de l'Economie. La tenue de la réunion du Comefa ce 10 novembre sera aussi l'occasion de procéder à l'inauguration de l'usine de production de véhicules Renault sis à Oued Tlelat mais la réunion d'Oran préparera aussi la deuxième réunion du comité intergouvernemental de haut niveau prévue début décembre à Paris. Cette rencontre sera co-présidée par le Premier ministre algérien Abdelmalek Sellal et son homologue français Manuel Valls.

Quant à la coopération dans la lutte antiterroriste, elle n'aurait jamais été aussi bonne entre Paris et Alger malgré de nombreux couacs lors de l'affaire Gourdel dont certains points restent pour les Algériens comme pour les Français encore très obscurs"

Michel Lhomme le 09/11/2014

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II) Analyse des conséquences de l'augmentation des visas

|=> Rapport Européen des Migrations

C'est long à ouvrir, copieux à vomir, mais fort intéressant.
Le dégoût commence en page 46, mais ce qui nous intéresse, est en page 50



"4.1.5 Analyse des statistiques

"Au vu de ces deux tableaux, on constate une diminution sensible entre 2004 et 2010,
notamment à partir de 2007 (- 13 % entre 2006 et 2007), du nombre de titres de séjour délivrés à des ressortissants algériens, puisqu’ils passent de 34 300 environ en 2004 à 24 300 environ en 2010.
C’est l’immigration familiale qui est la plus affectée par cette diminution du nombre de titres de séjour délivrés (- 38 % entre 2004 et 2010).
On observe entre ces deux dates une évolution similaire du nombre de visas demandés, passant de 368 706 en 2004 à 200 829 en 2010, ainsi que du nombre de visas délivrés, passant de 162 774 en 2004 à 137 051 en 2010. Une partie de la baisse de la demande de visas adressée aux consulats de France en Algérie peut s’expliquer par l’augmentation du taux de visas de circulation. En effet, le pourcentage de visas de circulation par rapport aux visas de court séjour passe de 17 % en 2003 à 23 % en 2010, ce qui représente une hausse non négligeable.

C’est l’immigration familiale qui est également la plus affectée par cette diminution. Les ressortissants algériens ne sont pas tenus d’avoir un visa de long séjour pour le rapprochement familial, à la différence du cas général depuis 2006. Aussi, le nombre de visas de long séjour reste relativement stable au cours de la période considérée alors que celui des visas de court séjour est en diminution sensible (- 20 % entre 2004 et 2010).

L'accord franco-algérien évoqué plus haut ne prévoit pas explicitement que les bénéficiaires de l'accord doivent obtenir un visa de long séjour (D) pour séjourner en France plus de 90 jours puisqu'une entrée régulière suffit pour solliciter un titre de séjour
. En 2010, les visas nationaux (visas D) représentaient 8 % du nombre total de visas délivrés.

Ces visas sont délivrés au titre du regroupement familial (3 181), des études en France (5 074) et de l'établissement professionnel (269). Conformément aux termes de l'accord bilatéral, les conjoints algériens de ressortissants français se voient délivrer des visas de court séjour établissement (6 904 visas en 2010).

L'Algérie, pour la France, est un pays qui présente un fort risque migratoire. Les statistiques 2010 montrent en effet que le taux de refus est de 31 %, ce qui reste très élevé.

Le fort taux de refus de visas pour les Algériens est étroitement lié au risque migratoire dont les critères d’évaluation reposent sur l’âge du demandeur, son insertion professionnelle en Algérie, ses ressources propres et ses demandes antérieures de visas.
Selon un article publié par RFI13, une partie de ces refus s'explique par la fraude présumée aux soins. L’ambassadeur de France à Alger révèle qu’à l’occasion d’une réunion de la commission mixte algéro-française de Sécurité sociale, ce phénomène avait été constaté : « La partie algérienne a découvert qu’il y avait effectivement d’énormes créances hospitalières françaises, de l’Assistance publique de Paris, de Lyon, de Marseille, etc., vis-à-vis d’individus privés algériens, qui, sous couvert de visites familiales, vont en réalité se faire soigner en France ; et les hôpitaux français cherchent légitimement à se faire payer ».


« La politique de visas entre la France et l’Algérie en question », article de RFI publié le 13 juillet 2010,

|=> Politique de Visas entre France et Algérie

Etude du REM – La politique des visas en tant que canal de migration

L’autre motif de refus de visa réside dans la suspicion de fraude migratoire. Toujours selon l’article publié par RFI, le consul général de France à Alger, a indiqué être saisi régulièrement par les préfectures françaises au sujet de demande de titres séjour présentées par des algériens entrés en France avec des visas de court séjour."




Etonnant que dans un document aussi méticuleux sur les chiffres des visas (tableaux à l'unité près), les fraudes, et l'immigration illégale proportion de visas accordés (même plus besoin de visas long séjour en plus), ne soient eux, pas du tout chiffrés? Non, ceci n'est pas destiné à être spécialement su.

L'ombre d'un doute (suivi de la bonne blague)

Maintenant que nous disposons suite à l'article précédent du vrai pouvoir des médias, voici une anecdote "amusante"

Une note trouvée sur le site de Gaelle Mann - elle bosse pour d'autres en somme :-) (Ndlr : revenir sur cette notion) - note qui sera d'ailleurs publié, juste après celle-ci, a permis une visite plus générale du site d'origine qui publia l'article en question :

|=> Metamag

Balayage rapide des titres d'articles proposés par ce site. Les yeux, sensibilisés par l'article publié précédemment, s'arrêtent naturellement sur un article qui semble prometteur :
"LA MACHINE A INFLUENCER" (en bas de la colonne de droite du site Metamag),

Voici l'article :

|=> La machine à influencer

Cet article est notamment repris par :

|=> the influencing machine

En gros, résumons l'article, il n'y aurait pas de conspiration. Et ça intéresse certains.

Bon d'accord.
Pour étudier l'évolution du climat, il y a sans doute des dizaines de milliers de scientifiques.

Mesurer l'influence sur les masses populaires, des merdias, en revanche semble beaucoup plus facile?
Et serait l'affaire des principaux concernés, et en petite auto suffisance, puisque la dame est seule et journaliste?

Non, d'abord ce genre d'analyses requièrent probablement des moyens statistiques en sociologie, et de diverses compétences et inter disciplines scientifiques.
Ensuite, nous savons par anticipation et évidemment, qu'aucun pouvoir politique ne se passe de mainmise sur les médias pour contrôler les masses populaires. Toute l'Histoire des 150 dernières années nous le démontre.

Alors pourquoi? Juste un truc à vérifier.

|=> Brooke Gladstone

Et Miss Gladstone a épousaillé un certain Fred Kaplan.

Voilà qui éclaircit l'ombre d'un doute et nous assure du sérieux de la démarche d'information et de ses intentions.

09/11/2014

De tous les ordres de priorités le nombre d'immigrés Africains et la projection de leur natalité infernale est la plus importante

Lancement par le Bloc Identitaire du site de ré-information contre le MENSONGE (et donc la très haute trahison d'un peuple), politico-médiatique :

|=> Site du Grand Remplacement

Discours d'inauguration du site par le principal intéressé, l'écrivain Renaud Camus qui est l'inventeur du terme "Grand Remplacement".

|=> Renaud Camus introduit et définit le terme de Grand Remplacement

"Définition

Le Grand Remplacement est tout simplement le remplacement progressif, mais dans un laps de temps très rapide, quelques décennies, de la population historique de notre pays par des populations issues de l’immigration, et très majoritairement extra-européennes.

Le Grand Remplacement est un phénomène dont l’accroissement est continu, à travers des politiques d’immigration toujours plus laxistes, mais qui est déjà quasiment abouti dans des zones entières du territoire où les Français de souche sont devenus minoritaires et ont même parfois totalement disparu, remplacés par des immigrés ou des Français administratifs issus de l’immigration. Ce Grand Remplacement, fruit de l’immigration massive et incontrôlée, induit des conséquences sur tous les plans : conséquences économiques, sociales, sécuritaires, identitaires, et même sanitaires.

Le terme de Grand Remplacement a été forgé par l’écrivain Renaud Camus. Il est présenté par un certain nombre de médias, dont l’occupation principale n’est plus désormais d’informer mais d’expliquer aux Français que tout ce qu’ils voient est faux, comme une théorie. Le Grand Remplacement est justement tout sauf une théorie, c’est malheureusement une réalité criante. Une réalité criante et palpable pour de très nombreux Français de souche qui vivent et constatent le Grand Remplacement dans leur immeuble, dans leur quartier, dans l’école de leurs enfants…

Notre Observatoire a justement pour but de démontrer cette réalité en s’appuyant sur l’ensemble des sources médiatiques mais aussi scientifiques, notamment dans le domaine démographique ou médical, mises à notre disposition. A travers une revue de presse régulière, des témoignages, des entretiens, ou encore des infographies, nous apporterons la preuve que ce que des millions de Français vivent au quotidien n’a rien d’une théorie…

Lettre de Renaud Camus, partenaire de l’Observatoire du Grand Remplacement, à Fabrice Robert, président du Bloc identitaire

Septembre 2014

Renaud Camus et Fabrice Robert à Paris, mars 2014. © Bloc identitaire

Cher Fabrice Robert,

Les Identitaires et vous voulez bien me demander un message inaugural, pour votre site sur le Grand Remplacement et la Remigration. Je vous l’envoie d’autant plus volontiers que vous connaissez mon amitié pour votre mouvement et pour vous, ma sympathie pour votre action à tous, ma haute considération pour la justesse de vos analyses et mon admiration pour le courage et la pertinence de vos initiatives — à commencer bien sûr par la plus mémorable d’entre elles, l’acte de présence et de protestation de vos militants les plus aguerris sur les toits de la mosquée de Poitiers en construction, il y a deux ans.

Je salue avec d’autant plus de plaisir et d’enthousiasme votre démarche actuelle que pour moi la constatation et le refus absolu du Grand Remplacement — ce “concept” dont vous voulez bien me reconnaître la paternité — ont toujours impliqué comme leur complément indispensable, et leur substance même, la Remigration, puisque c’est le mot que vous avez choisi de mettre en avant : je disais pour ma part “le renversement des flux migratoires”, mais c’est la même chose.

L’Algérie de 1962 est pour moi, en ces matières, la référence historique essentielle, à la fois, et le contre-exemple absolu.

Je m’explique : je suis persuadé que le combat que nous menons est d’essence anticolonialiste. Il s’agit de libérer notre malheureux pays et l’ensemble de notre continent du joug colonial chaque jour plus insupportable et pesant qui lui est imposé. Que la France et l’Europe soient victimes de colonisation, maintenant, beaucoup de gens ne le voient pas ou refusent de l’admettre, parce que cette colonisation ne ressemble pas à celles du XIXe et du XXe s. Elle ne leur ressemble pas en ceci qu’elle n’est pas ouvertement militaire, ni politique, ni officielle, encore qu’elle soit de plus en plus ceci et cela, à mesure qu’elle se renforce : la délinquance, la violence petite et grande, la nuisance, l’ensemble de ce que j’appelle la nocence (ce dont l’innocence est le contraire…) tiennent le rôle de l’action guerrière, et ils ont pour effet, comme elle, la conquête du territoire par lambeaux successifs ; je m’en suis expliqué dans un discours qui me vaut les interminables foudres de la justice remplaciste, celle qui sert le Grand Remplacement. Et les droits toujours plus grands qu’exigent et que s’arrogent nos conquérants à mesure qu’ils sont plus nombreux, leur présence toujours plus visible dans les rouages et le gouvernement même de notre République, leur poids dans notre société, le changement de civilisation qu’il entraîne, sont les marques de leur conquête.

En fait la colonisation en cours est beaucoup plus conforme à la définition et à l’étymologie du terme que celle à laquelle s’est livrée la France dans ce qui fut son empire, jadis. Colonisation de peuplement, colonisation par la masse démographique, colonisation par substitution ethnique, elle est surtout beaucoup plus grave, en cela qu’elle menace, elle, d’être irréversible, sans recours possible. Une colonisation comme celle qu’a pratiquée notre pays, une colonisation militaire, politique et administrative, on peut s’en débarrasser en un tournemain, l’histoire l’a montré. Une colonisation comme celle qu’il subit depuis des lustres, une colonisation par changement de peuple, celle-là est définitive, à moins de faire intervenir la remigration, précisément, avant qu’il soit tout à fait trop tard.

En 1962 l’Algérie tout juste décolonisée a estimé — et le monde entier, loin de s’indigner, en a jugé paisiblement comme elle — qu’elle ne serait pas véritablement indépendante si elle conservait sur son territoire dix pour cent d’habitants qui n’appartenaient pas à sa culture dominante ; qui étaient étrangers à ce qu’elle considérait comme son essence ; en somme qui n’étaient ni arabes ni musulmans. Ceux-là ont été jetés à la mer avec une brutalité inouïe. Souvenez-vous : la valise ou le cercueil. Et quand ils ne partaient pas assez vite, en quelques jours, parfois quelques heures, ils ont été massacrés. Voilà ce qui me semble devoir être pour nous la référence historique capitale ; et voilà aussi ce qui me paraît constituer le contre-exemple absolu.

Référence essentielle parce que personne ne pourra nous reprocher d’envisager la question dans les mêmes termes que d’autres pays colonisés avant le nôtre, et pareillement avides d’indépendance, de liberté, de sécurité, de dignité et d’identité. Encore n’avons-nous pas affaire, nous, à des colons installés depuis un siècle et plus, ou même, dans le cas des juifs en Algérie, présents sur le territoire depuis un millénaire ou deux. Nos colons à nous sont récents ou très récents, pour la plupart : trois générations au plus, très rarement quatre ; et le plus souvent une ou deux. Et même si certains d’entre eux ont prêté leurs bras et leur courage à la liberté et au redressement de notre pays, ce n’est pas eux, bien loin de là, qui l’ont créé, façonné ou mis en valeur — ils sont bien des colonisateurs, certes, mais ils ne sont pas du tout des colons.

Contre-exemple absolu, en même temps, parce que la brutalité, la sauvagerie des Algériens au cours de cet épisode encore largement occulté font horreur. Faut-il le dire, elles sont exactement ce que nous n’avons aucune intention d’imiter, même à l’égard des partisans et des promoteurs indigènes comme nous du Grand Remplacement en cours, ceux que j’appelle les remplacistes, qu’ils soient de droite ou de gauche, sarkozistes, juppéistes, hollandistes, mélenchoniens ou autres. S’agissant des remplaceurs eux-mêmes, des remplaçants, de nos colonisateurs, donc, ce que nous proposons est un divorce à l’amiable. Qu’ils se souviennent de leurs grands parents et des nôtres, en 1962, mais aussi 59, 60, 61. Qu’ils se rappellent la décolonisation, en Afrique du Nord mais aussi en Afrique noire. Bien entendu, nous, les indigènes de ce nouveau combat anticolonial, nous entendons recouvrer et conserver pour nous-mêmes, et pour ceux qui ont assimilé notre culture, notre mode de vie, notre civilisation, et qui ne prétendent pas nous imposer les leurs, ni même nous les donner en permanent spectacle, le territoire de nos pères. Mais, les autres, nous sommes tout disposés à les aider, y compris financièrement, à rentrer chez leurs propres aïeux. Il en coûtera toujours moins cher que l’immigration. Et à cette dépense-là, au moins, on pourra concevoir un terme.

Renaud Camus



Le Bloc Identitaire lance l’Observatoire du Grand Remplacement

Communiqué de lancement du 5/11/2014

Le Bloc Identitaire a depuis longtemps fait le constat du Grand Remplacement et de ses terribles conséquences – économiques, sociales, culturelles, sanitaires, sécuritaires – pour notre pays. Le Grand Remplacement est tout simplement le remplacement progressif, mais dans un laps de temps très rapide, quelques décennies, de la population historique de notre pays par des populations issues de l’immigration, et très majoritairement extra-européennes. Le Grand Remplacement est un phénomène dont l’accroissement est continu, à travers des politiques d’immigration toujours plus laxistes, mais qui est déjà quasiment abouti dans des zones entières du territoire où les Français de souche sont devenus minoritaires et ont même parfois totalement disparu, remplacés par des immigrés ou des Français administratifs issus de l’immigration. Ce Grand Remplacement, fruit de l’immigration massive et incontrôlée, induit des conséquences sur tous les plans : conséquences économiques, sociales, sécuritaires, identitaires, et même sanitaires.

Le terme de Grand Remplacement a été forgé par l’écrivain Renaud Camus. Il est présenté par un certain nombre de médias, dont l’occupation principale n’est plus désormais d’informer mais d’expliquer aux Français que tout ce qu’ils voient est faux, comme une théorie. Le Grand Remplacement est justement tout sauf une théorie, c’est malheureusement une réalité criante. Une réalité criante et palpable pour de très nombreux Français de souche qui vivent et constatent le Grand Remplacement dans leur immeuble, dans leur quartier, dans l’école de leurs enfants…

L’Observatoire du Grand Remplacement, créé en partenariat avec Renaud Camus, a justement pour but de démontrer cette réalité en s’appuyant sur l’ensemble des sources médiatiques mais aussi scientifiques, notamment dans le domaine démographique ou médical, mises à notre disposition. A travers une revue de presse régulière, des témoignages, des entretiens, ou encore des infographies, nous apporterons la preuve que ce que des millions de Français vivent au quotidien n’a rien d’une théorie."

03/10/2014

Qui possède (contrôle) les médias ?

Voici une source (que nous allons un rien compléter).

|=> Propriétaires des médias les plus influents

Droit à l’information

L’article 19 de la Déclaration des droits de l’homme de 1948 indique : « tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit. »

De plus, Victor Hugo, cité par Médiapart [1], a dit : « Le principe de la liberté de la presse n’est pas moins essentiel, n’est pas moins sacré que le principe du suffrage universel. Ce sont les deux côtés du même fait. Ces deux principes s’appellent et se complètent réciproquement. La liberté de la presse à côté du suffrage universel, c’est la pensée de tous éclairant le gouvernement de tous. Attenter à l’une, c’est attenter à l’autre ».

On reconnaît un régime totalitaire par le fait que les médias sont contrôlés par le pouvoir politique. Les révoltes sociales et populaires comme celle d’Oaxaca au Mexique en 2006 passent systématiquement par la prise de contrôle d’un média audio-visuel. Cela illustre à quel point la maîtrise de l’information est fondamentale pour asseoir son pouvoir, a fortiori à l’encontre ou l’insu de la population, ou pour lutter contre une éventuelle tentative de désinformation. Ne dit-on pas également que le premier perdant d’une guerre est la vérité ? Les médias sont donc essentiels à la démocratie, peut-être plus encore que les autres pouvoirs. Ils en sont également le baromètre. Et les dirigeants de grands médias sont les personnes parmi les plus puissantes qui soient.

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2. Qui possède les médias ?

Les médias sont très nombreux. Bouquets de chaînes de télévision, magazines spécialisés sur tous les thèmes, stations de radio… sans oublier le labyrinthe d’Internet que nous ne développerons pas, car n’ayant pas atteint encore la puissance et la visibilité des autres supports. Le réflexe naturel serait d’imaginer derrière cette multitude de marques, de chaînes, une diversité et une pluralité souhaitables. Mais l’effet est trompeur. Derrière ce nombre pléthorique, paradoxalement il y a peu de personnes, et même de moins en moins.

Arnaud Lagardère, ami intime de l’actuel chef d’état, qualifié de « mon frère » par ce dernier, possède* les éditions Hachette, Fayard, Grasset, Hatier, Hazan, Le Masque, Marabout, Pluriel, Stock, Le Livre de Poche, Larousse, Armand Colin, Dalloz et Dunod ; les magasins Relay, et Virgin ; les titres de presse Paris-Match, Elle magazine, le Journal du Dimanche, La Provence, Nice-Matin ; les stations radio Europe1, Europe 2, RFM ; les chaînes de télévision Canal J, MCM, Mezzo, Tiji, Match TV, la chaîne météo, CanalSatellite, Planète, Planète Future, Planète Thalassa, Canal Jimmy, Season, CinéCinéma, AlloCinéInfo et EuroChannel ; entre autres.
Groupe de l’industrie aéronautique, gros client de marchés publics. Chiffre d’affaires en 2008 : 8,2 milliards d’€.

Martin Bouygues (ami intime de l’actuel chef d’état, parrain d’un de ses fils) et sa famille possèdent* les chaînes de télévision TF1, LCI, Odyssée, Eurosport, Histoire, UshuaïaTV, S Star, Cinétoile, Cinéstar, Télétoon, Infosport, Série Club, TF6, TV Breizh ; les sociétés de production de films : Téléma, Film Par Film, TF1 Film Production, les sociétés de distribution de films : TFM, la société d’édition vidéo : TF1 Vidéo, les magazines Tfou Mag, Star Academy, et pour la presse écrite quotidienne gratuite : Métro.
Groupe de bâtiment et travaux publics, gros client de marchés publics. Chiffre d’affaires en 2008 : 32,7 milliards d’€.

Serge Dassault, proche de l’actuel chef d’état, et sa famille possèdent* Le Figaro, L’Express, le Figaro Magazine et Valeurs Actuelles.
Sénateur, avionneur et marchand d’armes, gros client de marchés publics. Chiffre d’affaires groupe en 2007 : 21 milliards d’€ (selon wikipédia, à vérifier).

Avec ces 3 personnes nous avons listé notamment le 1er éditeur de France, le 2ème libraire de France, le 1er quotidien de France, la 1ère chaîne de télévision de France si ce n’est d’Europe. Dans ce pays, la plus grande partie des médias est donc détenue par cinq empires financiers : Bouygues, Dassault, Lagardère, Bertelsmann (groupe RTL, M6), Vivendi-Universal (canal+, SFR).

Ajoutons encore Bernard Arnault l’homme le plus riche de France, qui fut témoin de mariage de l’actuel chef de l’état et qui possède Les échos. Vincent Bolloré, proche de l’actuel chef de l’état au point de lui prêter son yacht pour les vacances, possède la chaîne de télévision Direct8, les journaux gratuits Direct Soir et Matin Plus, en plus du groupe publicitaire Havas contenant RSCG de Jacques Séguéla.

En voulant parler de concentration, on s’aperçoit que cette concentration est de surcroît, autour de l’actuel chef de l’état !

Rarement autant de pouvoir n’a été concentré entre les mains d’agents économiques aussi restreints. Car le biais du capitalisme est qu’après la phase de concurrence, vient le temps du monopole de celui qui a gagné la bataille de la concurrence, et qui rachète ses anciens adversaires, sinon s’allie avec eux, cherchant par la même occasion à interdire l’accès au marché à d’éventuels concurrents. C’est le paradoxe d’un modèle qui, sans garde-fous, tend vers la suprématie, donc l’abus, puisque l’équilibre pluriel de départ est rompu. Depuis les années 90, ce contrôle capitaliste des médias se double d’une dynamique de concentration.

Que reste-t-il ? Le service public. Sa part de marchés reste inférieure [2]. Du point de vue déontologique, ce secteur doit s’efforcer d’être neutre. Donc il va s’interdire les méthodes très commerciales de ses concurrents cités plus haut, ou au pire les emprunter dans une certaine mesure, ce qui ne lui fera pas rattraper son écart d’audience. De plus une nouvelle organisation l’a mis sous la coupe directe du chef de l’état en gage de la suppression de la publicité.

Sondages

Si par définition, le média est le moyen de communication et de diffusion d’informations, alors sans aucun doute le sondage est devenu un média. Pourquoi les sondages sont-ils si importants ? Parce qu’ils servent d’auxiliaires très puissants à l’homme politique. Et soyons clair, derrière les circonvolutions du discours bienfaisant et rassembleur, le fond du propos de l’homme politique est beaucoup plus net et agressif : si vous contestez la mesure, nous avons la preuve – que vous ne pouvez vérifier – que vous êtes minoritaires.

Qui possède les instituts ?

- CSA est possédé par Vincent Bolloré, cité plus haut.

- IFOP est dirigé par Laurence Parisot, par-ailleurs présidente du Medef, organisation dont le frère de NS** fut vice-président jusqu’à fin août 2006, et invitée à la petite fête de la victoire de mai 2007 au Fouquet’s.

- IPSOS a pour administrateur notamment Nicolas Bazire, conseiller personnel de Nicolas Sarkozy et témoin de son dernier mariage. Pierre Giacometti, directeur général d’Ipsos France, lui aussi invité du Fouquet’s.

- Opinionway, a été fondé par Hugues de Cazenave. Voir cet article de politique.net [3] pour la mise en évidence de proximité politique.
Ne manquons pas d’impartialité en étant partiels, existent aussi la SOFRES qui a pour actionnaire les fonds d’investissement américain Fidelity ; LH2 (ex-Louis Harris) qui a été vendu par TNS à deux de ses dirigeants et BVA qui a pour actionnaires les fonds d’investissement Rothschild.

Sans préjuger d’une orientation politique systématique, on peut bien imaginer que, même s’il s’agit d’une minorité de sujets, les plus sensibles seront traités d’une certaine façon … ou pas du tout. Quant aux questions qui orientent les réponses c’est tellement évident, que certaines études sont tout simplement honteuses. Et les journalistes des médias de masse n’apporteront pas la précision sur les propriétaires des instituts et leurs autres activités. Ce manque de professionnalisme confine à la désinformation.

L’information libre étant consubstantielle (i.e. inséparable) à la démocratie, il est incroyable qu’une telle force, les médias, soit autorisée légalement à une telle consanguinité avec les pouvoirs économiques et politiques. Une démocratie qui laisse cela se mettre en place ne fonctionne pas correctement dans le sens constitutionnel d’un gouvernement par tou(te)s pour tou(te)s.

3. Problème de la concentration (réunion de toute l’autorité dans les mains d’un seul)

Il ne s’agit pas de stigmatiser telle ou telle entreprise qui n’a sans doute pas prospéré sans talent. Mais plutôt de montrer en quoi la situation ne convient pas.

Aucun des établissements financiers qui possèdent les médias n’a ce métier comme activité unique. Et à l’exception de Bertelsmann, le journalisme n’est pas le but premier de ces sociétés. Il s’agit même de groupes qui ont comme particularité d’avoir pour client l’état : le bâtiment, les travaux publics et les activités d’armement. Pour le dire de façon peu diplomatique, ils doivent leur pouvoir et richesses aux commandes que leur passent les politiciens avec l’argent public. Cela pose des problèmes politiques sérieux.

Ces groupes qui contrôlent la télévision ont la capacité d’utiliser le pouvoir conféré par cet outil puissant au bénéfice de leurs autres activités. Cela ne se fait pas forcément ouvertement. Mais par exemple on ne sera pas informé sur les activités en Afrique des grands groupes français, Bolloré notamment.

De plus on constate une dépendance du pouvoir politique vis-à-vis du pouvoir médiatique. Si le groupe a besoin de l’état, il a les moyens pour lui apporter tout le soutien nécessaire. Par renvoi d’ascenseur, il pourra être servi par des commandes, qui à ces échelles sont très importantes.

Malheureusement on a l’impression de répondre à la question : pourquoi ces entreprises championnes du capitalisme ont investi dans le secteur chroniquement déficitaire de la presse à l’aube du XXIème siècle ?

De surcroît ce secteur se voit maintenant financé par l’état (et donc par les citoyens) via un plan de 600 millions d’euros distribués sur 3 ans [4] à l’initiative de NS. Ne s’agit-il pas avant tout d’un cadeau à ceux qui l’ont « fait » ? Ou le genre d’opération séduction / siphonnage qu’il maîtrise ? S’il existe bien des journaux dits d’opposition tels le Nouvel Observateur ou Libération, avec sa technique d’ouverture, NS est capable de les dompter par cette aide. Qui ne serait pas séduit et donc… influencé dans son travail ? C.f. ce très bon article de Médiapart [1]. NS a bien compris l’importance de ce IVème pouvoir et continue à y étendre son emprise déjà quasi-hégémonique. Hégémonie ou consanguinité dont il tente de faire croire à l’inexistence en toute occasion.

À titre personnel je suis frappé de constater que nombre de personnes pensent que le chef de l’état est légitime dès lors qu’il est élu. Mais si, avant l’élection, celui-ci possède les chaînes de télévisions comme en Italie ou a pour amis proches les propriétaires de celles-ci comme en France (amitié expliquée ou doublée d’une convergence d’intérêts), comment peut-on croire sérieusement que cela ne pèse pas sur l’issue du scrutin, et ce de manière illégitime, hors de l’esprit démocratique ? On peut sans conteste dire que NS a été « fait » par et pour les possesseurs de groupes de diffusion.

Comment les médias servent la politique

Le principe est de ne pas faire réfléchir les gens, de les éloigner de ce qui les concerne. On est en plein dans l’application de ce propos de Paul Valéry « La politique est l’art d’empêcher les gens de se mêler de ce qui les regarde. ».

D’où l’information mièvre, vidée de sa substance, l’écran de fumée de l’actualité mondaine, l’opinion saturée avec du bruit médiatique sur des sujets mineurs. Sans oublier le maniement de l’épouvantail de la peur avec les affaires de droit commun qui semblent sorties de la presse de caniveau. « Attention, danger ! Les pédophiles sont partout, à côté de chez vous. » Ce qui est recherché, c’est le consentement au système économique en vigueur : le libéralisme mondialisé. Les multinationales, qui ont le pouvoir réel, contrôlent les médias qui œuvrent à créer les « illusions nécessaires » préalables à ce consentement. In fine le travail des médias consiste à borner le champ de réflexion politique.

Quant à la presse gratuite, la partialité est invisible derrière des dépêches aseptisées. Et le lecteur ne va pas se plaindre d’un journal qu’il n’a pas payé – directement pour le moins. Lire par exemple cet article sur ce sujet particulier. [5]

Le plus grave ce n’est pas ce fait, logique, que nos grands médias deviennent de plus en plus acteurs de la société du spectacle. Mais c’est qu’en tant qu’outils politiques fondamentaux, ils soient en train de renoncer à leur tâche d’élaboration d’un espace public de discussion et de réflexion, pour ne plus exercer qu’une fonction de propagande.

Conclusion

Bien sûr il y a des personnes qui remettent en cause l’information reçue, qui savent à quoi s’en tenir, qui ne sont pas consommatrices passives de prêt-à-penser très orienté. Mais ces personnes-là sont en nombre réduit face à l’énorme part de la population qui se préoccupe moins de ces sujets.

La question des médias est donc une question très sérieuse, qui concerne tous ceux qui refusent que les marchés pensent à leur place. Ne nous taisons pas face à la “majorité silencieuse” et tonitruante des “télés-réalités”, sachons voir que souvent le « diverti se ment ». L’information est un bien commun. Communiquer librement, un droit. Les groupes multimédias enterrent ce droit. Aujourd’hui, en France, on peut dire que le pluralisme politique dans les médias est gravement mis en cause, que les issues d’élections sont biaisées et sans doute pire encore, la réflexion personnelle qui permet l’engagement citoyen combattue.

Au vu de cela, on comprendra que le pouvoir politique actuel soit gêné par l’Internet libre. Les campagnes de dénigrement de ce nouveau média ainsi que les lois visant à contenir son impact sont en cela très inquiétantes. Et la suppression de vidéos mettant en cause la caste au pouvoir se pratique déjà. Les vidéos sur Jean S. et l’ EPAD ont été supprimées de Youtube soi-disant pour propriété intellectuelle. La prise de participation de l’état dans le portail vidéo Dailymotion [6], en toute discrétion, va faciliter encore ce contrôle. Et c’est là que la déjà forte concentration se poursuit, en commençant par le contrôle d’un générateur de « buzz ».

Auteur : Mychkine

Pour : Sentinelles de la République

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I) Précision : le premier actionnaire de Vivendi, serait Vincent Bolloré.


II) En lisant les commentaires de l'article, je suis tombé sur celui ci.

"
2. Cet article n’est pas mis a jour. Il manque le International Herald Tribune, journal independant edité a Paris, il manque le Groupe Next Radio TV, independant, qui edite Radio BFM, BFM TV, 01 Informatique et RMC.

3. Cet article ne mentionne pas l existence de Ouest France, journal independent et le plus lu en France, ni le Parisien et l’Equipe, qui avec Ouest France sont les seuls a faire du profit dans la presse papier. Enfin il n’est meme pas mentionné 20 Minutes et Metro, filiales fe groupes suedois de presse, independants.
"

Concernant le point "2."
Essayons les yeux fermés d'y voir plus clair.
Le groupe groupe Next Radio TV appartient à Alain Weill ... un des juifs les plus influents qui soient, et qui édite donc Radio BFM, BFM TV, 01 Informatique et RMC.

|=> Qui est derrière l'une des chaines préférées des Français

"Tous les sondages les plus récentes révèlent que plus de 70% des français ne font plus confiance aux médias et paradoxalement aux chaînes d’information les plus regardées.
On apprend que le propriétaire de BFMTV n’est autre que Alain Weill, l’un des juifs les plus riches de France et membre de la haute maçonnerie britannique.
La majorité des présentateurs vedettes de la chaîne sont également juifs et sont à l’image de la ligne éditoriale qu’ils mettent en place. Ne soyez plus surpris de voir des sujets islamophobes ou pro-israéliens..."

Une video du link concernant le groupe Next Radio TV qui possède BFM TV, RMC, etc ...





Concernant le point "3."

a) Pour "Métro" :

|=> Liste de journaux de la presse gratuite

"Metro est le premier quotidien d’information gratuit édité en France (340 000 exemplaires).
Metro France est détenu à 65,7 % par Metro International et à 34,3 % par TF1 depuis septembre 2003.Depuis 2011, TF1 possède 100 % de l'édition Métro France



b) Pour "20 minutes".

Il appartient au groupe Schibsted.

Le groupe Norvégien Schibsted

"Schibsted est un conglomérat norvégien du secteur des médias avec une activité dans une vingtaine de pays, notamment en Norvège et en Suède. La société a son siège à Oslo et est cotée à la bourse d'Oslo. Elle possède 20 minutes, Verdens Gang, Aftenposten, Aftonbladet, Svenska Dagbladet, Finn.no, Blocket, Leboncoin.fr, Bikhir.ma"

Ndlr : Difficulté, c'est du Norgévien! Trouvé (en mode traduction google), sur un site dont on ne peut diffuser l'adresse ni le contenu en raison de la Loi Gayssot ...

"Aftenposten, et beaucoup d'autres journaux Norvégiens, Suédois, et étrangers (dont 20 minutes en France), appartiennent à Schibsted, une famille connue pour ses sympathies sionistes".


Voilà. Peut être est ce que ce sujet sera complété au fil de l'eau. Mais en l'état il se suffit.
Pour compléter le tableau, il faudrait établir les tirages de ces journaux, les part d'audiovisuel de ces télés, radios afin de mesurer l'influence sur les citoyens de ces merdias.

Mais cela ne suffit pas. Des radios telles que France Inter, France Culture sont "auditivement" assez noyautées.
Ce que confirme un article certes excessif (mais ayant le mérite d'interloquer et de pousser à la curiosité) d'un antisioniste très connu titrant
Liste d'employés de France Inter ?"

Voilà un panorama assez saisissant de l'état d'appropriation des merdias Français par des communautaristes.

Edifiant.

21/07/2013

Henry Kissinger souhaite le Démantèlement de la Syrie et des Nations Dissidentes

Dans une très récente présentation à la Ford School, l’ancien secrétaire d’État Henry Kissinger a commenté la situation syrienne actuelle, en exprimant sa préférence pour un pays brisé et balkanisé émergeant de l’unité actuelle contrôlée par Assad [1] :

« Il y a trois résultats possibles : une victoire d’Assad, une victoire sunnite ou un résultat dans lequel les différentes nationalités acceptent de cohabiter ensemble, mais dans des régions plus ou moins autonomes, de sorte qu’elles ne puissent pas s’opprimer les unes les autres. C’est l’issue que je préférerais voir. Mais ce n’est pas une opinion populaire. »

Après avoir été présenté comme « l’honorable Dr Kissinger », l’ancien homme d’influence âgé de 90 ans a commencé par une leçon d’histoire intéressante. Kissinger a expliqué en détail comment l’État actuel de la Syrie avait été conçu par les puissances européennes, comme ce fut aussi le cas avec l’Irak :

« Tout d’abord, la Syrie n’est pas un État historique. Elle a été créée sous sa forme actuelle en 1920, et elle a reçu cette forme afin de faciliter le contrôle du pays par la France,  après le mandat de l’ONU. L’Irak, pays voisin, a également reçu une forme étrange, dans le but de faciliter le contrôle par l’Angleterre. Et la forme des deux pays a été conçue afin de rendre difficile aux deux pays la domination de la région. »

En raison de ses origines anhistoriques, Kissinger a expliqué que la Syrie actuelle a été conçue comme une unité nationale plus ou moins artificielle composée de différentes tribus et groupes ethniques. Puisque la récente « révolution » devient de plus en plus chaotique, Kissinger fait des remarques sur la nature de la situation actuelle :

« Dans la presse américaine, la situation est décrite comme un conflit entre la démocratie et la dictature – et le dictateur est en train de tuer son propre peuple, et nous devons le punir. Mais ce n’est pas ce qui se passe. Ce conflit a peut-être été lancé par quelques démocrates. Mais dans l’ensemble c’est un conflit ethnique et sectaire. [...] C’est maintenant une guerre civile entre les groupes sectaires [...]. Et je dois dire que nous l’avons mal compris dès le début. Si vous lisez nos médias, ils disent que nous devons nous débarrasser d’Assad. Et si nous nous débarrassons d’Assad, alors nous pouvons former un gouvernement de coalition. C’est inconcevable. Je suis tout à fait pour qu’on se débarrasse d’Assad, mais le conflit entre les Russes et nous sur cette question, c’est que les Russes pensent : vous ne commencez pas seulement par vous débarrasser d’Assad, ce n’est pas le problème, mais vous désintégrez aussi l’administration d’État pour vous retrouver comme en Irak – sans rien pour maintenir l’ensemble. Et puis vous aurez une guerre civile qui s’aggravera. C’est ainsi que ce désordre a pris sa forme actuelle. »

Kissinger a auparavant fait des remarques concernant les avantages de briser les nations dissidentes en petits fragments, après quoi le chaos émergeant peut faciliter leur introduction dans un ordre mondial. C’est en substance la règle du diviser pour mieux régner. Ces observations récentes de Kissinger sont en phase avec les déclarations antérieures dans lesquelles il promulgue l’idée que les bouleversements sociaux et les troubles civils de masses doivent être utilisés comme des moyens pour fusionner les nations (y compris, par ailleurs, les États-Unis) dans un « système international ».

« Les États-Unis doivent faire partie d’un système international que nous créons au niveau national », a déclaré Kissinger au Harvard Crimson en 2012. Lorsqu’on lui a demandé quels étaient les problèmes les plus importants auxquels la société américaine devait faire face aujourd’hui, il a alors répondu :

« Au niveau international, le problème est qu’il y a des bouleversements en cours dans chaque partie du monde, mais ces bouleversements ne suivent pas les mêmes causes fondamentales, donc les États-Unis doivent faire partie d’un système international que nous créons au niveau national. »

Le concept consistant à s’emparer des crises et des bouleversements, dont les causes peuvent différer de nation à nation, afin de parvenir à un ordre international, suit soigneusement la règle d’or de l’élite, à savoir qu’un ordre mondial  provoqué par le chaos est préférable. En outre, Kissinger nous donne un aperçu de l’intention sous-jacente, que lui et ses compagnons du Bilderberg ont à l’esprit, en indiquant en quelques mots que les troubles civils – qu’ils soient motivés économiquement, politiquement ou socialement – doivent être saisis afin de fusionner les pays en un « système international » désiré.

Dans un article de Prisonplanet.com de décembre 2008, Steve Watson écrivait que Kissinger, dans une interview pour Charlie Rose,  le chouchou des Bilderberg, « a cité le chaos provoqué à travers le monde par la crise financière et la propagation du terrorisme comme une occasion de renforcer un nouvel ordre mondial ».

Kissinger avait dit à Rose, il y a quelques années :

« Je pense que lorsque la nouvelle administration évalue la position dans laquelle elle se trouve, elle voit une énorme crise et des problèmes terribles, mais je considère qu’elle peut y voir une lueur d’espoir d’où pourrait  sortir un système international [2]. »

Cette conversation à propos des crises et des bouleversements comme étant de simples moyens spécifiques à chaque pays vers un objectif mondial centralisé pourrait indiquer un plan transnational sous-jacent. Un concept sinistre qui suit le cours de la dialectique hégélienne classique, à savoir que le problème (qu’il soit réel ou feint) provoque la réaction qui en retour permet à l’élite de fournir une solution sur un plateau d’argent. Les paroles de Kissinger me rappellent de façon inquiétante celles écrites par Alexander Wendt de l’université de Chicago, qui en 2003, dans son traité intitulé Pourquoi un État mondial est inévitable : la téléologie et la logique de l’anarchie, a déclaré :

« Les luttes nationalistes pour la reconnaissance ne sont nullement terminées, et plusieurs nouveaux États – “plus d’anarchie” – peuvent encore être créés. Mais alors que davantage de fragmentations sont d’une certaine façon un recul, elles sont également des conditions préalables pour aller de l’avant, car c’est seulement lorsque les différences sont reconnues que les identités peuvent être plus stables. (...) Loin de mettre fin au nationalisme, un État mondial ne sera possible que s’il embrasse celui-ci. »

Ces paroles peuvent faire la lumière sur celles prononcées par Kissinger et ses collègues supranationalistes, qui révèlent en substance qu’ils sont très conscients du fait que la simple proposition d’un État mondial ne se fera pas – et que cela peut même échouer si celui-ci est proposé trop directement – et que le même objectif peut être mieux réalisé par la fragmentation et la balkanisation des États-nations, que ce soit à l’Est ou à l’Ouest, pour ensuite fusionner ces fragments dans une construction globale, généralement décrite comme le Nouvel Ordre mondial.

 

Source :

E&R - 04 Juillet 2013

Définition du mot complot

- Atteinte aux intérêts fondamentaux de la Nation.

- Par extension, projet plus ou moins répréhensible d'une action menée en commun et secrètement

 

Source :

Larousse en ligne

http://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/complot/177...