Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

11/11/2014

Le pouvoir démentiel de la télévision sur les masses

Voilà le vrai pouvoir de la télévision.




01h30 pour définitivement se débarrasser des doutes sur l'influence des merdias.
débrancher sa télé, couper la radio, et ne plus lire les presses.

Il ne suffit pas de se couper des journaux informations pour être mis à l'abris du bain d'influence mondialiste, et de l'auto culpabilisation :
la propagande infuse par toutes les pores de toutes sortes d'émissions dont évidemment, celles de variétés, de débats, de cultures, de musiques etc ..


On imagine aussi le pouvoir de la radio et de la presse.
D'ailleurs dans toutes les guerres et les coups d'Etat, disposer des médias est essentiel.
Ce n'est pas pour rien : c'est une arme de guerre en soi, et sans doute la principale.

Algérie ----> France : 300 000 visas

D'abord l'article de métamag évoqué dans une note précédente.

Une seconde partie de la note, creusera un rien les conséquences (évidentes) de cette augmentation de visas de circulation

I) La demande de Laurent Fabius

|=> Algérie - > France de plus en plus de visas

L'ambassadeur de France en Algérie l'a confirmé : plus de 300 000 visas seront attribués aux Algériens avant fin 2014. C'est un des objectifs que l'ambassade de France en Algérie s'est fixé.

Bernard Emié, ambassadeur et haut représentant de la France en Algérie, parle ainsi d'une croissance significative du nombre de visas attribués aux Algériens : «Le nombre de visas attribués a connu une croissance significative avec 210 000 délivrés en 2013. La hausse va se poursuivre en 2014 avec probablement plus de 300 000 visas délivrés ». De fait, 75% des demandes reçoivent maintenant une réponse positive dans les trois consulats généraux français en Algérie. L'Ambassadeur insiste sur le fait que la France a « consenti des efforts importants ces dernières années dans trois domaines, pour faciliter toujours davantage la mobilité des personnes ».

Les domaines en question se rapportent, en premier lieu, au traitement personnalisé des demandes de visa émises par certaines catégories professionnelles telles que les journalistes, les avocats, les médecins ainsi que les employés des institutions et des entreprises. Le deuxième progrès important concerne la durée de validité des visas de court séjour. « A la demande de Laurent Fabius, ministre des Affaires étrangères et du Développement international, nous accordons depuis un an un nombre croissant de visas de circulation, qui représentent à présent près de 50% du total des visas attribués, et qui permettent de se rendre régulièrement en France et dans l'espace Schengen sur une période de plusieurs années, sans être obligés de demander un nouveau visa», explique l'ambassadeur de France dans un entretien à l'Agence algérienne d'information, APS.

Il confirme aussi que les services du consulat de France font face à une augmentation très importante de demandes de l'ordre de 35%. «Nous sommes ainsi passés entre l'automne 2013 et le printemps 2014, pour le seul consulat général d'Alger, de 900 à 1.200 dossiers traités par jour. J'ai donné instruction pour que nous poursuivions dans ce sens, avec un objectif de 1.500 dossiers traités par jour d'ici la fin 2014. L'objectif est simple : permettre davantage d'échanges humains entre nos deux pays pour favoriser nos échanges économiques, culturels et touristiques», a encore indiqué Bernard Emié.

Concernant les relations bilatérales tissées entre l'Algérie et la France, le diplômate fait aussi savoir que le développement des relations économiques est au cœur de sa mission. «Renforcer notre partenariat est pour nous une priorité stratégique. Nous sommes déjà le deuxième partenaire économique de l'Algérie avec des échanges s'élevant à 10 milliards d'Euros en 2013. Nous sommes le premier investisseur hors hydrocarbures et le premier employeur étranger. (...) Mon ambition - je ne suis pas sûr d'y parvenir mais j'y travaillerai sans relâche -est que nous redevenions le premier partenaire économique dans tous les domaines», a-t-il déclaré.

Enfin, son Excellence Emié a évoqué bien sûr la réunion du Comité mixte économique algéro-français (Comefa) qui se réunira ce 10 novembre prochain à Oran en présence du Premier ministre algérien Abdelmalek Sellal et des ministres français Laurent Fabius et Emmanuel Macron en charge respectivement des Affaires étrangères et de l'Economie. La tenue de la réunion du Comefa ce 10 novembre sera aussi l'occasion de procéder à l'inauguration de l'usine de production de véhicules Renault sis à Oued Tlelat mais la réunion d'Oran préparera aussi la deuxième réunion du comité intergouvernemental de haut niveau prévue début décembre à Paris. Cette rencontre sera co-présidée par le Premier ministre algérien Abdelmalek Sellal et son homologue français Manuel Valls.

Quant à la coopération dans la lutte antiterroriste, elle n'aurait jamais été aussi bonne entre Paris et Alger malgré de nombreux couacs lors de l'affaire Gourdel dont certains points restent pour les Algériens comme pour les Français encore très obscurs"

Michel Lhomme le 09/11/2014

=================================================



II) Analyse des conséquences de l'augmentation des visas

|=> Rapport Européen des Migrations

C'est long à ouvrir, copieux à vomir, mais fort intéressant.
Le dégoût commence en page 46, mais ce qui nous intéresse, est en page 50



"4.1.5 Analyse des statistiques

"Au vu de ces deux tableaux, on constate une diminution sensible entre 2004 et 2010,
notamment à partir de 2007 (- 13 % entre 2006 et 2007), du nombre de titres de séjour délivrés à des ressortissants algériens, puisqu’ils passent de 34 300 environ en 2004 à 24 300 environ en 2010.
C’est l’immigration familiale qui est la plus affectée par cette diminution du nombre de titres de séjour délivrés (- 38 % entre 2004 et 2010).
On observe entre ces deux dates une évolution similaire du nombre de visas demandés, passant de 368 706 en 2004 à 200 829 en 2010, ainsi que du nombre de visas délivrés, passant de 162 774 en 2004 à 137 051 en 2010. Une partie de la baisse de la demande de visas adressée aux consulats de France en Algérie peut s’expliquer par l’augmentation du taux de visas de circulation. En effet, le pourcentage de visas de circulation par rapport aux visas de court séjour passe de 17 % en 2003 à 23 % en 2010, ce qui représente une hausse non négligeable.

C’est l’immigration familiale qui est également la plus affectée par cette diminution. Les ressortissants algériens ne sont pas tenus d’avoir un visa de long séjour pour le rapprochement familial, à la différence du cas général depuis 2006. Aussi, le nombre de visas de long séjour reste relativement stable au cours de la période considérée alors que celui des visas de court séjour est en diminution sensible (- 20 % entre 2004 et 2010).

L'accord franco-algérien évoqué plus haut ne prévoit pas explicitement que les bénéficiaires de l'accord doivent obtenir un visa de long séjour (D) pour séjourner en France plus de 90 jours puisqu'une entrée régulière suffit pour solliciter un titre de séjour
. En 2010, les visas nationaux (visas D) représentaient 8 % du nombre total de visas délivrés.

Ces visas sont délivrés au titre du regroupement familial (3 181), des études en France (5 074) et de l'établissement professionnel (269). Conformément aux termes de l'accord bilatéral, les conjoints algériens de ressortissants français se voient délivrer des visas de court séjour établissement (6 904 visas en 2010).

L'Algérie, pour la France, est un pays qui présente un fort risque migratoire. Les statistiques 2010 montrent en effet que le taux de refus est de 31 %, ce qui reste très élevé.

Le fort taux de refus de visas pour les Algériens est étroitement lié au risque migratoire dont les critères d’évaluation reposent sur l’âge du demandeur, son insertion professionnelle en Algérie, ses ressources propres et ses demandes antérieures de visas.
Selon un article publié par RFI13, une partie de ces refus s'explique par la fraude présumée aux soins. L’ambassadeur de France à Alger révèle qu’à l’occasion d’une réunion de la commission mixte algéro-française de Sécurité sociale, ce phénomène avait été constaté : « La partie algérienne a découvert qu’il y avait effectivement d’énormes créances hospitalières françaises, de l’Assistance publique de Paris, de Lyon, de Marseille, etc., vis-à-vis d’individus privés algériens, qui, sous couvert de visites familiales, vont en réalité se faire soigner en France ; et les hôpitaux français cherchent légitimement à se faire payer ».


« La politique de visas entre la France et l’Algérie en question », article de RFI publié le 13 juillet 2010,

|=> Politique de Visas entre France et Algérie

Etude du REM – La politique des visas en tant que canal de migration

L’autre motif de refus de visa réside dans la suspicion de fraude migratoire. Toujours selon l’article publié par RFI, le consul général de France à Alger, a indiqué être saisi régulièrement par les préfectures françaises au sujet de demande de titres séjour présentées par des algériens entrés en France avec des visas de court séjour."




Etonnant que dans un document aussi méticuleux sur les chiffres des visas (tableaux à l'unité près), les fraudes, et l'immigration illégale proportion de visas accordés (même plus besoin de visas long séjour en plus), ne soient eux, pas du tout chiffrés? Non, ceci n'est pas destiné à être spécialement su.

L'ombre d'un doute (suivi de la bonne blague)

Maintenant que nous disposons suite à l'article précédent du vrai pouvoir des médias, voici une anecdote "amusante"

Une note trouvée sur le site de Gaelle Mann - elle bosse pour d'autres en somme :-) (Ndlr : revenir sur cette notion) - note qui sera d'ailleurs publié, juste après celle-ci, a permis une visite plus générale du site d'origine qui publia l'article en question :

|=> Metamag

Balayage rapide des titres d'articles proposés par ce site. Les yeux, sensibilisés par l'article publié précédemment, s'arrêtent naturellement sur un article qui semble prometteur :
"LA MACHINE A INFLUENCER" (en bas de la colonne de droite du site Metamag),

Voici l'article :

|=> La machine à influencer

Cet article est notamment repris par :

|=> the influencing machine

En gros, résumons l'article, il n'y aurait pas de conspiration. Et ça intéresse certains.

Bon d'accord.
Pour étudier l'évolution du climat, il y a sans doute des dizaines de milliers de scientifiques.

Mesurer l'influence sur les masses populaires, des merdias, en revanche semble beaucoup plus facile?
Et serait l'affaire des principaux concernés, et en petite auto suffisance, puisque la dame est seule et journaliste?

Non, d'abord ce genre d'analyses requièrent probablement des moyens statistiques en sociologie, et de diverses compétences et inter disciplines scientifiques.
Ensuite, nous savons par anticipation et évidemment, qu'aucun pouvoir politique ne se passe de mainmise sur les médias pour contrôler les masses populaires. Toute l'Histoire des 150 dernières années nous le démontre.

Alors pourquoi? Juste un truc à vérifier.

|=> Brooke Gladstone

Et Miss Gladstone a épousaillé un certain Fred Kaplan.

Voilà qui éclaircit l'ombre d'un doute et nous assure du sérieux de la démarche d'information et de ses intentions.

09/11/2014

De tous les ordres de priorités le nombre d'immigrés Africains et la projection de leur natalité infernale est la plus importante

Lancement par le Bloc Identitaire du site de ré-information contre le MENSONGE (et donc la très haute trahison d'un peuple), politico-médiatique :

|=> Site du Grand Remplacement

Discours d'inauguration du site par le principal intéressé, l'écrivain Renaud Camus qui est l'inventeur du terme "Grand Remplacement".

|=> Renaud Camus introduit et définit le terme de Grand Remplacement

"Définition

Le Grand Remplacement est tout simplement le remplacement progressif, mais dans un laps de temps très rapide, quelques décennies, de la population historique de notre pays par des populations issues de l’immigration, et très majoritairement extra-européennes.

Le Grand Remplacement est un phénomène dont l’accroissement est continu, à travers des politiques d’immigration toujours plus laxistes, mais qui est déjà quasiment abouti dans des zones entières du territoire où les Français de souche sont devenus minoritaires et ont même parfois totalement disparu, remplacés par des immigrés ou des Français administratifs issus de l’immigration. Ce Grand Remplacement, fruit de l’immigration massive et incontrôlée, induit des conséquences sur tous les plans : conséquences économiques, sociales, sécuritaires, identitaires, et même sanitaires.

Le terme de Grand Remplacement a été forgé par l’écrivain Renaud Camus. Il est présenté par un certain nombre de médias, dont l’occupation principale n’est plus désormais d’informer mais d’expliquer aux Français que tout ce qu’ils voient est faux, comme une théorie. Le Grand Remplacement est justement tout sauf une théorie, c’est malheureusement une réalité criante. Une réalité criante et palpable pour de très nombreux Français de souche qui vivent et constatent le Grand Remplacement dans leur immeuble, dans leur quartier, dans l’école de leurs enfants…

Notre Observatoire a justement pour but de démontrer cette réalité en s’appuyant sur l’ensemble des sources médiatiques mais aussi scientifiques, notamment dans le domaine démographique ou médical, mises à notre disposition. A travers une revue de presse régulière, des témoignages, des entretiens, ou encore des infographies, nous apporterons la preuve que ce que des millions de Français vivent au quotidien n’a rien d’une théorie…

Lettre de Renaud Camus, partenaire de l’Observatoire du Grand Remplacement, à Fabrice Robert, président du Bloc identitaire

Septembre 2014

Renaud Camus et Fabrice Robert à Paris, mars 2014. © Bloc identitaire

Cher Fabrice Robert,

Les Identitaires et vous voulez bien me demander un message inaugural, pour votre site sur le Grand Remplacement et la Remigration. Je vous l’envoie d’autant plus volontiers que vous connaissez mon amitié pour votre mouvement et pour vous, ma sympathie pour votre action à tous, ma haute considération pour la justesse de vos analyses et mon admiration pour le courage et la pertinence de vos initiatives — à commencer bien sûr par la plus mémorable d’entre elles, l’acte de présence et de protestation de vos militants les plus aguerris sur les toits de la mosquée de Poitiers en construction, il y a deux ans.

Je salue avec d’autant plus de plaisir et d’enthousiasme votre démarche actuelle que pour moi la constatation et le refus absolu du Grand Remplacement — ce “concept” dont vous voulez bien me reconnaître la paternité — ont toujours impliqué comme leur complément indispensable, et leur substance même, la Remigration, puisque c’est le mot que vous avez choisi de mettre en avant : je disais pour ma part “le renversement des flux migratoires”, mais c’est la même chose.

L’Algérie de 1962 est pour moi, en ces matières, la référence historique essentielle, à la fois, et le contre-exemple absolu.

Je m’explique : je suis persuadé que le combat que nous menons est d’essence anticolonialiste. Il s’agit de libérer notre malheureux pays et l’ensemble de notre continent du joug colonial chaque jour plus insupportable et pesant qui lui est imposé. Que la France et l’Europe soient victimes de colonisation, maintenant, beaucoup de gens ne le voient pas ou refusent de l’admettre, parce que cette colonisation ne ressemble pas à celles du XIXe et du XXe s. Elle ne leur ressemble pas en ceci qu’elle n’est pas ouvertement militaire, ni politique, ni officielle, encore qu’elle soit de plus en plus ceci et cela, à mesure qu’elle se renforce : la délinquance, la violence petite et grande, la nuisance, l’ensemble de ce que j’appelle la nocence (ce dont l’innocence est le contraire…) tiennent le rôle de l’action guerrière, et ils ont pour effet, comme elle, la conquête du territoire par lambeaux successifs ; je m’en suis expliqué dans un discours qui me vaut les interminables foudres de la justice remplaciste, celle qui sert le Grand Remplacement. Et les droits toujours plus grands qu’exigent et que s’arrogent nos conquérants à mesure qu’ils sont plus nombreux, leur présence toujours plus visible dans les rouages et le gouvernement même de notre République, leur poids dans notre société, le changement de civilisation qu’il entraîne, sont les marques de leur conquête.

En fait la colonisation en cours est beaucoup plus conforme à la définition et à l’étymologie du terme que celle à laquelle s’est livrée la France dans ce qui fut son empire, jadis. Colonisation de peuplement, colonisation par la masse démographique, colonisation par substitution ethnique, elle est surtout beaucoup plus grave, en cela qu’elle menace, elle, d’être irréversible, sans recours possible. Une colonisation comme celle qu’a pratiquée notre pays, une colonisation militaire, politique et administrative, on peut s’en débarrasser en un tournemain, l’histoire l’a montré. Une colonisation comme celle qu’il subit depuis des lustres, une colonisation par changement de peuple, celle-là est définitive, à moins de faire intervenir la remigration, précisément, avant qu’il soit tout à fait trop tard.

En 1962 l’Algérie tout juste décolonisée a estimé — et le monde entier, loin de s’indigner, en a jugé paisiblement comme elle — qu’elle ne serait pas véritablement indépendante si elle conservait sur son territoire dix pour cent d’habitants qui n’appartenaient pas à sa culture dominante ; qui étaient étrangers à ce qu’elle considérait comme son essence ; en somme qui n’étaient ni arabes ni musulmans. Ceux-là ont été jetés à la mer avec une brutalité inouïe. Souvenez-vous : la valise ou le cercueil. Et quand ils ne partaient pas assez vite, en quelques jours, parfois quelques heures, ils ont été massacrés. Voilà ce qui me semble devoir être pour nous la référence historique capitale ; et voilà aussi ce qui me paraît constituer le contre-exemple absolu.

Référence essentielle parce que personne ne pourra nous reprocher d’envisager la question dans les mêmes termes que d’autres pays colonisés avant le nôtre, et pareillement avides d’indépendance, de liberté, de sécurité, de dignité et d’identité. Encore n’avons-nous pas affaire, nous, à des colons installés depuis un siècle et plus, ou même, dans le cas des juifs en Algérie, présents sur le territoire depuis un millénaire ou deux. Nos colons à nous sont récents ou très récents, pour la plupart : trois générations au plus, très rarement quatre ; et le plus souvent une ou deux. Et même si certains d’entre eux ont prêté leurs bras et leur courage à la liberté et au redressement de notre pays, ce n’est pas eux, bien loin de là, qui l’ont créé, façonné ou mis en valeur — ils sont bien des colonisateurs, certes, mais ils ne sont pas du tout des colons.

Contre-exemple absolu, en même temps, parce que la brutalité, la sauvagerie des Algériens au cours de cet épisode encore largement occulté font horreur. Faut-il le dire, elles sont exactement ce que nous n’avons aucune intention d’imiter, même à l’égard des partisans et des promoteurs indigènes comme nous du Grand Remplacement en cours, ceux que j’appelle les remplacistes, qu’ils soient de droite ou de gauche, sarkozistes, juppéistes, hollandistes, mélenchoniens ou autres. S’agissant des remplaceurs eux-mêmes, des remplaçants, de nos colonisateurs, donc, ce que nous proposons est un divorce à l’amiable. Qu’ils se souviennent de leurs grands parents et des nôtres, en 1962, mais aussi 59, 60, 61. Qu’ils se rappellent la décolonisation, en Afrique du Nord mais aussi en Afrique noire. Bien entendu, nous, les indigènes de ce nouveau combat anticolonial, nous entendons recouvrer et conserver pour nous-mêmes, et pour ceux qui ont assimilé notre culture, notre mode de vie, notre civilisation, et qui ne prétendent pas nous imposer les leurs, ni même nous les donner en permanent spectacle, le territoire de nos pères. Mais, les autres, nous sommes tout disposés à les aider, y compris financièrement, à rentrer chez leurs propres aïeux. Il en coûtera toujours moins cher que l’immigration. Et à cette dépense-là, au moins, on pourra concevoir un terme.

Renaud Camus



Le Bloc Identitaire lance l’Observatoire du Grand Remplacement

Communiqué de lancement du 5/11/2014

Le Bloc Identitaire a depuis longtemps fait le constat du Grand Remplacement et de ses terribles conséquences – économiques, sociales, culturelles, sanitaires, sécuritaires – pour notre pays. Le Grand Remplacement est tout simplement le remplacement progressif, mais dans un laps de temps très rapide, quelques décennies, de la population historique de notre pays par des populations issues de l’immigration, et très majoritairement extra-européennes. Le Grand Remplacement est un phénomène dont l’accroissement est continu, à travers des politiques d’immigration toujours plus laxistes, mais qui est déjà quasiment abouti dans des zones entières du territoire où les Français de souche sont devenus minoritaires et ont même parfois totalement disparu, remplacés par des immigrés ou des Français administratifs issus de l’immigration. Ce Grand Remplacement, fruit de l’immigration massive et incontrôlée, induit des conséquences sur tous les plans : conséquences économiques, sociales, sécuritaires, identitaires, et même sanitaires.

Le terme de Grand Remplacement a été forgé par l’écrivain Renaud Camus. Il est présenté par un certain nombre de médias, dont l’occupation principale n’est plus désormais d’informer mais d’expliquer aux Français que tout ce qu’ils voient est faux, comme une théorie. Le Grand Remplacement est justement tout sauf une théorie, c’est malheureusement une réalité criante. Une réalité criante et palpable pour de très nombreux Français de souche qui vivent et constatent le Grand Remplacement dans leur immeuble, dans leur quartier, dans l’école de leurs enfants…

L’Observatoire du Grand Remplacement, créé en partenariat avec Renaud Camus, a justement pour but de démontrer cette réalité en s’appuyant sur l’ensemble des sources médiatiques mais aussi scientifiques, notamment dans le domaine démographique ou médical, mises à notre disposition. A travers une revue de presse régulière, des témoignages, des entretiens, ou encore des infographies, nous apporterons la preuve que ce que des millions de Français vivent au quotidien n’a rien d’une théorie."