En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Une commentatrice, a posté un poème de Francois Coppée, sur sa note.
"Le soleil froid donnait un ton rose au grésil,
Et le ciel de novembre avait des airs d'avril,
Nous voulions profiter de la belle gelée.
Moi chaudement vêtu, toi bien emmitouflée
Sous le manteau, sous la voilette et sous les gants,
Nous franchissions, parmi les couples élégants,
La porte de la blanche et joyeuse avenue,
Quand soudain jusqu'à nous une enfant presque nue
Et livide, tenant des fleurettes en main,
Accourut, se frayant à la hâte un chemin
Entre les beaux habits et les riches toilettes,
Nous offrir un bouquet de violettes.
Elle avait deviné que nous étions heureux
Sans doute, et s'était dit : “ ils seront généreux ”.
Elle nous proposa ses fleurs d'une voix douce,
En souriant avec ce sourire qui tousse,
Et c'était monstrueux, cette enfant de sept ans
Qui mourait de l'hiver en offrant le printemps.
Ses pauvres petits doigts étaient pleins d'engelures.
Moi, je sentais le fin parfum de tes fourrures,
Je voyais ton cou rose et blanc sous la fanchon,
Et je touchais ta main chaude dans ton manchon.
Nous fîmes notre offrande, amie, et nous passâmes ;
Mais la gaîté s'était envolée, et nos âmes
Gardèrent jusqu'au soir un souvenir amer.
Mignonne, nous ferons l'aumône cet hiver.
En savoir plus sur http://reves-vagabondages.e-monsite.com/pages/preferences/francois-coppee-la-petite-marchande-de-fleurs/#WHMsoYBhp3ZKlFqT.99
"
Beauté éphémère qui s'est envolée et à laissé la place à la ravine qu'est notre époque, et ce monde parti en vrille débile, aujourd'hui. Mais une image et des mots et la beauté de notre civilisation sont là à quelques pas, dans le temps.
La poésie, ça sert aussi à ça :
L'aumone aujourd'hui? Autant crever que de participer à ces manifestations de solidarités organisées mensongères qui ne servent souvent plus qu'à nourrir nombre de porcs et leurs spectres chiant des portées dans le but de nous détruire.
Nous connaissions déjà les passerelles en traits d'unions banque-presse.
C'est le caractère déterminé que certains font dans ce genre d'acquisitions que nous dénonçons ici comme une singularité absolument caractérisable, et qui prend, inévitablement, écho dans le mal qui touche la France.
Selon nous : les merdias de masse en France, sont des instruments de pouvoirs, d'orientation et de contrôle des opinions publiques. Et ils en abusent pleinement, de toute évidence, à nos yeux.
Pour rester positifs, nous souhaitons que lorsque les nationalistes seront au commandes du pays, de grandes enquêtes approfondies impliquant plusieurs disciplines étudient et mesurent ce que nous dénonçons ici de l'action des merdias et personnalités au cours des années 1970 à nos jours tout au moins.
Et nous ferons confiance alors uniquement aux résultats de telles enquêtes.
"Cela invite l’opposition nationale à initier une vaste réforme intellectuelle et morale et les Français à distinguer l’essentiel de l’accessoire, à un travail d’introspection, de réflexion sur les responsables de ce déclin français."
Tout est là à qui sait lire, y compris dans la citation qui conclut le tout :
«Dieu se rit des hommes qui se plaignent des conséquences alors qu’ils en chérissent les causes »
"Comment en est on arrivé là"? "Travail d’introspection, de réflexion sur les responsables de ce déclin français"
La citation de Bruno Gollnisch n'est elle pas notamment la devise du site |=> contre-info
La plupart des nationalistes (*) de longue date voyaient dans le FN de JMLP un parti de droite classique qui bien que trop mou pouvait à la rigueur faire l'objet d'un vote.
Avec Marine, ils décrochent complètement.
Certes ce n'est pas les Français qui ont fait un énorme pas en avant vers "l'extrême droite" mais surtout "l'extrême droite" qui serait devenue un parti aseptisé voire neutralisé pour aller chercher l'électeur.
Mais dans une démocratie totalement contrôlée de l'extérieur, s'il existait un seul autre moyen de se faire élire par des électeurs lobotomisés par 40 ans de décervelage massif, je ne le connais pas.
L'optimisme c'est de commencer par penser que la majorité des Français en poussant le FN au pouvoir auront franchi un premier pas : celui de devenir des électeurs d'un parti ""d'extrême droite"".
Juste un mot mais symboliquement un pas énorme.
L'optimisme, c'est de donner une chance à la dernière chance que l'on ait, fut elle de 1% digne de considération.
Dans ma perception des choses actuelles, c'est mieux qu'aucune chance et une destruction définitive assurée.
Sur un bateau ravagé et coulant, stopper l'afflux d'eau est la première de mesures de survie.
Et pour cela il faut déjà pouvoir arriver jusqu'à accéder à la fuite.
Fonctionner par étapes me semble indispensable :
-1 faire élire un parti "anti immigration" (même moyen)
-2 A partir de là, on pourra commencer à réfléchir à autre chose.
-3 stopper l'immigration, et organiser le reflux des masses étrangères.
C'est à dire progresser par paliers ( comme l'invasion a été organisée : par paliers) se donner du temps et eu donner à un peuple complètement décervelé.
Ensuite, il faudra ré-éduquer les gens.
Après 40 ans de bombardements massifs, penser que cela pourrait se faire, en un tour de main est impensable : il faudra un temps considérable pour reprendre le dessus.
Un coup d'Etat pour aller plus vite? Les mondiaboliques auraient prétexte à nous tomber sur la gueule. Notre bombe A nous protégerait un temps mais pas de tout.
Du reste, elle ne sera bientôt plus l'arme de dissuasion ultime puisqu'une autre est en préparation. Bien plus puissante. Une "bombe" dont pratiquement personne ne perçoit la mesure du danger qu'elle représentera à terme.
(*) je n'en étais pas un : je vote FN depuis 20 ans suite à agressions (un classique, je sais), mais n'avais initialement aucune disposition ou culture nationaliste, aucun militantisme ou contact particulier avec le FN, et n'ai découvert le cheval de troie du problème de l'immigration qu'en 2007-2008 (paliers là aussi), en fréquentant les intransigeants qui m'avaient accueillis bien que je ne sois pas croyant. Depuis les principaux partis radicaux de droite me semblent à peine assez """extrémistes""" pour remettre la balle au centre du jeu face à nos adversaires.
Dans la vraie (""extrême"") droite de France, je me retrouve dans une majorité de mentalités, ai pu acquérir quelques conceptions fondamentales qui me manquaient.
Mais les "extrêmes droites" semblent bien trop divisées, bien trop sujettes à dissensions pour l'urgence des problèmes et la force avancée des communautarismes en France. Peut être pas assez souples aussi, et dans tous les cas bien trop figées sur leurs principes "moraux" pour pouvoir lutter contre les enjeux qui nous attendent et face à des adversaires très dangereux, plus soudés, et infiniment moins moraux.
De mon côté, comprenant qu'on puisse être absolument raciste sans l'être totalement moi même, il faut que notre pays conserve sa culture, ses traditions, et son peuple d'origine blanche et européenne absolument préservé de manière pérenne : faire tout ce qu'il faudra pour cela, me semble un combat évident, nécessaire, indispensable.
On essaye de nous détruire en tant que peuple blanc : il faut frapper au bon endroit et très fort, pour l'empêcher, éliminer nos poux et nos geôliers, et reprendre nos vies en main.
Faire définitivement passer l'envie à ceux qui ont produit cette situation en France, de recommencer.
Evidemment.
Une tradition d'accueil de l'extrême gauche se conclue tragiquement.
Beaucoup de Français étaient tombés, durant des décennies, partout en France, bien avant eux : dans la rue, chez eux, pour un regard, pour une clope, pour une critique constructive, pour un rien, pour une volonté de domination systématisée chez certains peuples exotiques.
Massacrés, assassinés dans un silence assourdissant des merdias, des politiques, et sans aucune protection.
Ceux qui parmi les Français s'éveillent à cette réalité et s'en offusquent furent souvent moqués par des gens semblables fort notamment à certains de ceux qui sont tombés aujourd'hui, mais avec bien moins de capacité de communication qu'eux.
01h30 pour définitivement se débarrasser des doutes sur l'influence des merdias.
débrancher sa télé, couper la radio, et ne plus lire les presses.
Il ne suffit pas de se couper des journaux informations pour être mis à l'abris du bain d'influence mondialiste, et de l'auto culpabilisation :
la propagande infuse par toutes les pores de toutes sortes d'émissions dont évidemment, celles de variétés, de débats, de cultures, de musiques etc ..
On imagine aussi le pouvoir de la radio et de la presse.
D'ailleurs dans toutes les guerres et les coups d'Etat, disposer des médias est essentiel.
Ce n'est pas pour rien : c'est une arme de guerre en soi, et sans doute la principale.
L'ambassadeur de France en Algérie l'a confirmé : plus de 300 000 visas seront attribués aux Algériens avant fin 2014. C'est un des objectifs que l'ambassade de France en Algérie s'est fixé.
Bernard Emié, ambassadeur et haut représentant de la France en Algérie, parle ainsi d'une croissance significative du nombre de visas attribués aux Algériens : «Le nombre de visas attribués a connu une croissance significative avec 210 000 délivrés en 2013. La hausse va se poursuivre en 2014 avec probablement plus de 300 000 visas délivrés ». De fait, 75% des demandes reçoivent maintenant une réponse positive dans les trois consulats généraux français en Algérie. L'Ambassadeur insiste sur le fait que la France a « consenti des efforts importants ces dernières années dans trois domaines, pour faciliter toujours davantage la mobilité des personnes ».
Les domaines en question se rapportent, en premier lieu, au traitement personnalisé des demandes de visa émises par certaines catégories professionnelles telles que les journalistes, les avocats, les médecins ainsi que les employés des institutions et des entreprises. Le deuxième progrès important concerne la durée de validité des visas de court séjour. « A la demande de Laurent Fabius, ministre des Affaires étrangères et du Développement international, nous accordons depuis un an un nombre croissant de visas de circulation, qui représentent à présent près de 50% du total des visas attribués, et qui permettent de se rendre régulièrement en France et dans l'espace Schengen sur une période de plusieurs années, sans être obligés de demander un nouveau visa», explique l'ambassadeur de France dans un entretien à l'Agence algérienne d'information, APS.
Il confirme aussi que les services du consulat de France font face à une augmentation très importante de demandes de l'ordre de 35%. «Nous sommes ainsi passés entre l'automne 2013 et le printemps 2014, pour le seul consulat général d'Alger, de 900 à 1.200 dossiers traités par jour. J'ai donné instruction pour que nous poursuivions dans ce sens, avec un objectif de 1.500 dossiers traités par jour d'ici la fin 2014. L'objectif est simple : permettre davantage d'échanges humains entre nos deux pays pour favoriser nos échanges économiques, culturels et touristiques», a encore indiqué Bernard Emié.
Concernant les relations bilatérales tissées entre l'Algérie et la France, le diplômate fait aussi savoir que le développement des relations économiques est au cœur de sa mission. «Renforcer notre partenariat est pour nous une priorité stratégique. Nous sommes déjà le deuxième partenaire économique de l'Algérie avec des échanges s'élevant à 10 milliards d'Euros en 2013. Nous sommes le premier investisseur hors hydrocarbures et le premier employeur étranger. (...) Mon ambition - je ne suis pas sûr d'y parvenir mais j'y travaillerai sans relâche -est que nous redevenions le premier partenaire économique dans tous les domaines», a-t-il déclaré.
Enfin, son Excellence Emié a évoqué bien sûr la réunion du Comité mixte économique algéro-français (Comefa) qui se réunira ce 10 novembre prochain à Oran en présence du Premier ministre algérien Abdelmalek Sellal et des ministres français Laurent Fabius et Emmanuel Macron en charge respectivement des Affaires étrangères et de l'Economie. La tenue de la réunion du Comefa ce 10 novembre sera aussi l'occasion de procéder à l'inauguration de l'usine de production de véhicules Renault sis à Oued Tlelat mais la réunion d'Oran préparera aussi la deuxième réunion du comité intergouvernemental de haut niveau prévue début décembre à Paris. Cette rencontre sera co-présidée par le Premier ministre algérien Abdelmalek Sellal et son homologue français Manuel Valls.
Quant à la coopération dans la lutte antiterroriste, elle n'aurait jamais été aussi bonne entre Paris et Alger malgré de nombreux couacs lors de l'affaire Gourdel dont certains points restent pour les Algériens comme pour les Français encore très obscurs"
Michel Lhomme le 09/11/2014
=================================================
II) Analyse des conséquences de l'augmentation des visas
C'est long à ouvrir, copieux à vomir, mais fort intéressant.
Le dégoût commence en page 46, mais ce qui nous intéresse, est en page 50
"4.1.5 Analyse des statistiques
"Au vu de ces deux tableaux, on constate une diminution sensible entre 2004 et 2010,
notamment à partir de 2007 (- 13 % entre 2006 et 2007), du nombre de titres de séjour délivrés à des ressortissants algériens, puisqu’ils passent de 34 300 environ en 2004 à 24 300 environ en 2010.
C’est l’immigration familiale qui est la plus affectée par cette diminution du nombre de titres de séjour délivrés (- 38 % entre 2004 et 2010).
On observe entre ces deux dates une évolution similaire du nombre de visas demandés, passant de 368 706 en 2004 à 200 829 en 2010, ainsi que du nombre de visas délivrés, passant de 162 774 en 2004 à 137 051 en 2010. Une partie de la baisse de la demande de visas adressée aux consulats de France en Algérie peut s’expliquer par l’augmentation du taux de visas de circulation. En effet, le pourcentage de visas de circulation par rapport aux visas de court séjour passe de 17 % en 2003 à 23 % en 2010, ce qui représente une hausse non négligeable.
C’est l’immigration familiale qui est également la plus affectée par cette diminution. Les ressortissants algériens ne sont pas tenus d’avoir un visa de long séjour pour le rapprochement familial, à la différence du cas général depuis 2006. Aussi, le nombre de visas de long séjour reste relativement stable au cours de la période considérée alors que celui des visas de court séjour est en diminution sensible (- 20 % entre 2004 et 2010).
L'accord franco-algérien évoqué plus haut ne prévoit pas explicitement que les bénéficiaires de l'accord doivent obtenir un visa de long séjour (D) pour séjourner en France plus de 90 jours puisqu'une entrée régulière suffit pour solliciter un titre de séjour. En 2010, les visas nationaux (visas D) représentaient 8 % du nombre total de visas délivrés.
Ces visas sont délivrés au titre du regroupement familial (3 181), des études en France (5 074) et de l'établissement professionnel (269). Conformément aux termes de l'accord bilatéral, les conjoints algériens de ressortissants français se voient délivrer des visas de court séjour établissement (6 904 visas en 2010).
L'Algérie, pour la France, est un pays qui présente un fort risque migratoire. Les statistiques 2010 montrent en effet que le taux de refus est de 31 %, ce qui reste très élevé.
Le fort taux de refus de visas pour les Algériens est étroitement lié au risque migratoire dont les critères d’évaluation reposent sur l’âge du demandeur, son insertion professionnelle en Algérie, ses ressources propres et ses demandes antérieures de visas.
Selon un article publié par RFI13, une partie de ces refus s'explique par la fraude présumée aux soins. L’ambassadeur de France à Alger révèle qu’à l’occasion d’une réunion de la commission mixte algéro-française de Sécurité sociale, ce phénomène avait été constaté : « La partie algérienne a découvert qu’il y avait effectivement d’énormes créances hospitalières françaises, de l’Assistance publique de Paris, de Lyon, de Marseille, etc., vis-à-vis d’individus privés algériens, qui, sous couvert de visites familiales, vont en réalité se faire soigner en France ; et les hôpitaux français cherchent légitimement à se faire payer ».
« La politique de visas entre la France et l’Algérie en question », article de RFI publié le 13 juillet 2010,
Etude du REM – La politique des visas en tant que canal de migration
L’autre motif de refus de visa réside dans la suspicion de fraude migratoire. Toujours selon l’article publié par RFI, le consul général de France à Alger, a indiqué être saisi régulièrement par les préfectures françaises au sujet de demande de titres séjour présentées par des algériens entrés en France avec des visas de court séjour."
Etonnant que dans un document aussi méticuleux sur les chiffres des visas (tableaux à l'unité près), les fraudes, et l'immigration illégale proportion de visas accordés (même plus besoin de visas long séjour en plus), ne soient eux, pas du tout chiffrés? Non, ceci n'est pas destiné à être spécialement su.
Maintenant que nous disposons suite à l'article précédent du vrai pouvoir des médias, voici une anecdote "amusante"
Une note trouvée sur le site de Gaelle Mann - elle bosse pour d'autres en somme :-) (Ndlr : revenir sur cette notion) - note qui sera d'ailleurs publié, juste après celle-ci, a permis une visite plus générale du site d'origine qui publia l'article en question :
Balayage rapide des titres d'articles proposés par ce site. Les yeux, sensibilisés par l'article publié précédemment, s'arrêtent naturellement sur un article qui semble prometteur :
"LA MACHINE A INFLUENCER" (en bas de la colonne de droite du site Metamag),
En gros, résumons l'article, il n'y aurait pas de conspiration. Et ça intéresse certains.
Bon d'accord.
Pour étudier l'évolution du climat, il y a sans doute des dizaines de milliers de scientifiques.
Mesurer l'influence sur les masses populaires, des merdias, en revanche semble beaucoup plus facile?
Et serait l'affaire des principaux concernés, et en petite auto suffisance, puisque la dame est seule et journaliste?
Non, d'abord ce genre d'analyses requièrent probablement des moyens statistiques en sociologie, et de diverses compétences et inter disciplines scientifiques.
Ensuite, nous savons par anticipation et évidemment, qu'aucun pouvoir politique ne se passe de mainmise sur les médias pour contrôler les masses populaires. Toute l'Histoire des 150 dernières années nous le démontre.
Le Grand Remplacement est tout simplement le remplacement progressif, mais dans un laps de temps très rapide, quelques décennies, de la population historique de notre pays par des populations issues de l’immigration, et très majoritairement extra-européennes.
Le Grand Remplacement est un phénomène dont l’accroissement est continu, à travers des politiques d’immigration toujours plus laxistes, mais qui est déjà quasiment abouti dans des zones entières du territoire où les Français de souche sont devenus minoritaires et ont même parfois totalement disparu, remplacés par des immigrés ou des Français administratifs issus de l’immigration. Ce Grand Remplacement, fruit de l’immigration massive et incontrôlée, induit des conséquences sur tous les plans : conséquences économiques, sociales, sécuritaires, identitaires, et même sanitaires.
Le terme de Grand Remplacement a été forgé par l’écrivain Renaud Camus. Il est présenté par un certain nombre de médias, dont l’occupation principale n’est plus désormais d’informer mais d’expliquer aux Français que tout ce qu’ils voient est faux, comme une théorie. Le Grand Remplacement est justement tout sauf une théorie, c’est malheureusement une réalité criante. Une réalité criante et palpable pour de très nombreux Français de souche qui vivent et constatent le Grand Remplacement dans leur immeuble, dans leur quartier, dans l’école de leurs enfants…
Notre Observatoire a justement pour but de démontrer cette réalité en s’appuyant sur l’ensemble des sources médiatiques mais aussi scientifiques, notamment dans le domaine démographique ou médical, mises à notre disposition. A travers une revue de presse régulière, des témoignages, des entretiens, ou encore des infographies, nous apporterons la preuve que ce que des millions de Français vivent au quotidien n’a rien d’une théorie…
Lettre de Renaud Camus, partenaire de l’Observatoire du Grand Remplacement, à Fabrice Robert, président du Bloc identitaire
Les Identitaires et vous voulez bien me demander un message inaugural, pour votre site sur le Grand Remplacement et la Remigration. Je vous l’envoie d’autant plus volontiers que vous connaissez mon amitié pour votre mouvement et pour vous, ma sympathie pour votre action à tous, ma haute considération pour la justesse de vos analyses et mon admiration pour le courage et la pertinence de vos initiatives — à commencer bien sûr par la plus mémorable d’entre elles, l’acte de présence et de protestation de vos militants les plus aguerris sur les toits de la mosquée de Poitiers en construction, il y a deux ans.
Je salue avec d’autant plus de plaisir et d’enthousiasme votre démarche actuelle que pour moi la constatation et le refus absolu du Grand Remplacement — ce “concept” dont vous voulez bien me reconnaître la paternité — ont toujours impliqué comme leur complément indispensable, et leur substance même, la Remigration, puisque c’est le mot que vous avez choisi de mettre en avant : je disais pour ma part “le renversement des flux migratoires”, mais c’est la même chose.
L’Algérie de 1962 est pour moi, en ces matières, la référence historique essentielle, à la fois, et le contre-exemple absolu.
Je m’explique : je suis persuadé que le combat que nous menons est d’essence anticolonialiste. Il s’agit de libérer notre malheureux pays et l’ensemble de notre continent du joug colonial chaque jour plus insupportable et pesant qui lui est imposé. Que la France et l’Europe soient victimes de colonisation, maintenant, beaucoup de gens ne le voient pas ou refusent de l’admettre, parce que cette colonisation ne ressemble pas à celles du XIXe et du XXe s. Elle ne leur ressemble pas en ceci qu’elle n’est pas ouvertement militaire, ni politique, ni officielle, encore qu’elle soit de plus en plus ceci et cela, à mesure qu’elle se renforce : la délinquance, la violence petite et grande, la nuisance, l’ensemble de ce que j’appelle la nocence (ce dont l’innocence est le contraire…) tiennent le rôle de l’action guerrière, et ils ont pour effet, comme elle, la conquête du territoire par lambeaux successifs ; je m’en suis expliqué dans un discours qui me vaut les interminables foudres de la justice remplaciste, celle qui sert le Grand Remplacement. Et les droits toujours plus grands qu’exigent et que s’arrogent nos conquérants à mesure qu’ils sont plus nombreux, leur présence toujours plus visible dans les rouages et le gouvernement même de notre République, leur poids dans notre société, le changement de civilisation qu’il entraîne, sont les marques de leur conquête.
En fait la colonisation en cours est beaucoup plus conforme à la définition et à l’étymologie du terme que celle à laquelle s’est livrée la France dans ce qui fut son empire, jadis. Colonisation de peuplement, colonisation par la masse démographique, colonisation par substitution ethnique, elle est surtout beaucoup plus grave, en cela qu’elle menace, elle, d’être irréversible, sans recours possible. Une colonisation comme celle qu’a pratiquée notre pays, une colonisation militaire, politique et administrative, on peut s’en débarrasser en un tournemain, l’histoire l’a montré. Une colonisation comme celle qu’il subit depuis des lustres, une colonisation par changement de peuple, celle-là est définitive, à moins de faire intervenir la remigration, précisément, avant qu’il soit tout à fait trop tard.
En 1962 l’Algérie tout juste décolonisée a estimé — et le monde entier, loin de s’indigner, en a jugé paisiblement comme elle — qu’elle ne serait pas véritablement indépendante si elle conservait sur son territoire dix pour cent d’habitants qui n’appartenaient pas à sa culture dominante ; qui étaient étrangers à ce qu’elle considérait comme son essence ; en somme qui n’étaient ni arabes ni musulmans. Ceux-là ont été jetés à la mer avec une brutalité inouïe. Souvenez-vous : la valise ou le cercueil. Et quand ils ne partaient pas assez vite, en quelques jours, parfois quelques heures, ils ont été massacrés. Voilà ce qui me semble devoir être pour nous la référence historique capitale ; et voilà aussi ce qui me paraît constituer le contre-exemple absolu.
Référence essentielle parce que personne ne pourra nous reprocher d’envisager la question dans les mêmes termes que d’autres pays colonisés avant le nôtre, et pareillement avides d’indépendance, de liberté, de sécurité, de dignité et d’identité. Encore n’avons-nous pas affaire, nous, à des colons installés depuis un siècle et plus, ou même, dans le cas des juifs en Algérie, présents sur le territoire depuis un millénaire ou deux. Nos colons à nous sont récents ou très récents, pour la plupart : trois générations au plus, très rarement quatre ; et le plus souvent une ou deux. Et même si certains d’entre eux ont prêté leurs bras et leur courage à la liberté et au redressement de notre pays, ce n’est pas eux, bien loin de là, qui l’ont créé, façonné ou mis en valeur — ils sont bien des colonisateurs, certes, mais ils ne sont pas du tout des colons.
Contre-exemple absolu, en même temps, parce que la brutalité, la sauvagerie des Algériens au cours de cet épisode encore largement occulté font horreur. Faut-il le dire, elles sont exactement ce que nous n’avons aucune intention d’imiter, même à l’égard des partisans et des promoteurs indigènes comme nous du Grand Remplacement en cours, ceux que j’appelle les remplacistes, qu’ils soient de droite ou de gauche, sarkozistes, juppéistes, hollandistes, mélenchoniens ou autres. S’agissant des remplaceurs eux-mêmes, des remplaçants, de nos colonisateurs, donc, ce que nous proposons est un divorce à l’amiable. Qu’ils se souviennent de leurs grands parents et des nôtres, en 1962, mais aussi 59, 60, 61. Qu’ils se rappellent la décolonisation, en Afrique du Nord mais aussi en Afrique noire. Bien entendu, nous, les indigènes de ce nouveau combat anticolonial, nous entendons recouvrer et conserver pour nous-mêmes, et pour ceux qui ont assimilé notre culture, notre mode de vie, notre civilisation, et qui ne prétendent pas nous imposer les leurs, ni même nous les donner en permanent spectacle, le territoire de nos pères. Mais, les autres, nous sommes tout disposés à les aider, y compris financièrement, à rentrer chez leurs propres aïeux. Il en coûtera toujours moins cher que l’immigration. Et à cette dépense-là, au moins, on pourra concevoir un terme.
Renaud Camus
Le Bloc Identitaire lance l’Observatoire du Grand Remplacement
Communiqué de lancement du 5/11/2014
Le Bloc Identitaire a depuis longtemps fait le constat du Grand Remplacement et de ses terribles conséquences – économiques, sociales, culturelles, sanitaires, sécuritaires – pour notre pays. Le Grand Remplacement est tout simplement le remplacement progressif, mais dans un laps de temps très rapide, quelques décennies, de la population historique de notre pays par des populations issues de l’immigration, et très majoritairement extra-européennes. Le Grand Remplacement est un phénomène dont l’accroissement est continu, à travers des politiques d’immigration toujours plus laxistes, mais qui est déjà quasiment abouti dans des zones entières du territoire où les Français de souche sont devenus minoritaires et ont même parfois totalement disparu, remplacés par des immigrés ou des Français administratifs issus de l’immigration. Ce Grand Remplacement, fruit de l’immigration massive et incontrôlée, induit des conséquences sur tous les plans : conséquences économiques, sociales, sécuritaires, identitaires, et même sanitaires.
Le terme de Grand Remplacement a été forgé par l’écrivain Renaud Camus. Il est présenté par un certain nombre de médias, dont l’occupation principale n’est plus désormais d’informer mais d’expliquer aux Français que tout ce qu’ils voient est faux, comme une théorie. Le Grand Remplacement est justement tout sauf une théorie, c’est malheureusement une réalité criante. Une réalité criante et palpable pour de très nombreux Français de souche qui vivent et constatent le Grand Remplacement dans leur immeuble, dans leur quartier, dans l’école de leurs enfants…
L’Observatoire du Grand Remplacement, créé en partenariat avec Renaud Camus, a justement pour but de démontrer cette réalité en s’appuyant sur l’ensemble des sources médiatiques mais aussi scientifiques, notamment dans le domaine démographique ou médical, mises à notre disposition. A travers une revue de presse régulière, des témoignages, des entretiens, ou encore des infographies, nous apporterons la preuve que ce que des millions de Français vivent au quotidien n’a rien d’une théorie."
L’article 19 de la Déclaration des droits de l’homme de 1948 indique : « tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit. »
De plus, Victor Hugo, cité par Médiapart [1], a dit : « Le principe de la liberté de la presse n’est pas moins essentiel, n’est pas moins sacré que le principe du suffrage universel. Ce sont les deux côtés du même fait. Ces deux principes s’appellent et se complètent réciproquement. La liberté de la presse à côté du suffrage universel, c’est la pensée de tous éclairant le gouvernement de tous. Attenter à l’une, c’est attenter à l’autre ».
On reconnaît un régime totalitaire par le fait que les médias sont contrôlés par le pouvoir politique. Les révoltes sociales et populaires comme celle d’Oaxaca au Mexique en 2006 passent systématiquement par la prise de contrôle d’un média audio-visuel. Cela illustre à quel point la maîtrise de l’information est fondamentale pour asseoir son pouvoir, a fortiori à l’encontre ou l’insu de la population, ou pour lutter contre une éventuelle tentative de désinformation. Ne dit-on pas également que le premier perdant d’une guerre est la vérité ? Les médias sont donc essentiels à la démocratie, peut-être plus encore que les autres pouvoirs. Ils en sont également le baromètre. Et les dirigeants de grands médias sont les personnes parmi les plus puissantes qui soient.
ADVERTISEMENT
2. Qui possède les médias ?
Les médias sont très nombreux. Bouquets de chaînes de télévision, magazines spécialisés sur tous les thèmes, stations de radio… sans oublier le labyrinthe d’Internet que nous ne développerons pas, car n’ayant pas atteint encore la puissance et la visibilité des autres supports. Le réflexe naturel serait d’imaginer derrière cette multitude de marques, de chaînes, une diversité et une pluralité souhaitables. Mais l’effet est trompeur. Derrière ce nombre pléthorique, paradoxalement il y a peu de personnes, et même de moins en moins.
Arnaud Lagardère, ami intime de l’actuel chef d’état, qualifié de « mon frère » par ce dernier, possède* les éditions Hachette, Fayard, Grasset, Hatier, Hazan, Le Masque, Marabout, Pluriel, Stock, Le Livre de Poche, Larousse, Armand Colin, Dalloz et Dunod ; les magasins Relay, et Virgin ; les titres de presse Paris-Match, Elle magazine, le Journal du Dimanche, La Provence, Nice-Matin ; les stations radio Europe1, Europe 2, RFM ; les chaînes de télévision Canal J, MCM, Mezzo, Tiji, Match TV, la chaîne météo, CanalSatellite, Planète, Planète Future, Planète Thalassa, Canal Jimmy, Season, CinéCinéma, AlloCinéInfo et EuroChannel ; entre autres.
Groupe de l’industrie aéronautique, gros client de marchés publics. Chiffre d’affaires en 2008 : 8,2 milliards d’€.
Martin Bouygues (ami intime de l’actuel chef d’état, parrain d’un de ses fils) et sa famille possèdent* les chaînes de télévision TF1, LCI, Odyssée, Eurosport, Histoire, UshuaïaTV, S Star, Cinétoile, Cinéstar, Télétoon, Infosport, Série Club, TF6, TV Breizh ; les sociétés de production de films : Téléma, Film Par Film, TF1 Film Production, les sociétés de distribution de films : TFM, la société d’édition vidéo : TF1 Vidéo, les magazines Tfou Mag, Star Academy, et pour la presse écrite quotidienne gratuite : Métro.
Groupe de bâtiment et travaux publics, gros client de marchés publics. Chiffre d’affaires en 2008 : 32,7 milliards d’€.
Serge Dassault, proche de l’actuel chef d’état, et sa famille possèdent* Le Figaro, L’Express, le Figaro Magazine et Valeurs Actuelles.
Sénateur, avionneur et marchand d’armes, gros client de marchés publics. Chiffre d’affaires groupe en 2007 : 21 milliards d’€ (selon wikipédia, à vérifier).
Avec ces 3 personnes nous avons listé notamment le 1er éditeur de France, le 2ème libraire de France, le 1er quotidien de France, la 1ère chaîne de télévision de France si ce n’est d’Europe. Dans ce pays, la plus grande partie des médias est donc détenue par cinq empires financiers : Bouygues, Dassault, Lagardère, Bertelsmann (groupe RTL, M6), Vivendi-Universal (canal+, SFR).
Ajoutons encore Bernard Arnault l’homme le plus riche de France, qui fut témoin de mariage de l’actuel chef de l’état et qui possède Les échos. Vincent Bolloré, proche de l’actuel chef de l’état au point de lui prêter son yacht pour les vacances, possède la chaîne de télévision Direct8, les journaux gratuits Direct Soir et Matin Plus, en plus du groupe publicitaire Havas contenant RSCG de Jacques Séguéla.
En voulant parler de concentration, on s’aperçoit que cette concentration est de surcroît, autour de l’actuel chef de l’état !
Rarement autant de pouvoir n’a été concentré entre les mains d’agents économiques aussi restreints. Car le biais du capitalisme est qu’après la phase de concurrence, vient le temps du monopole de celui qui a gagné la bataille de la concurrence, et qui rachète ses anciens adversaires, sinon s’allie avec eux, cherchant par la même occasion à interdire l’accès au marché à d’éventuels concurrents. C’est le paradoxe d’un modèle qui, sans garde-fous, tend vers la suprématie, donc l’abus, puisque l’équilibre pluriel de départ est rompu. Depuis les années 90, ce contrôle capitaliste des médias se double d’une dynamique de concentration.
Que reste-t-il ? Le service public. Sa part de marchés reste inférieure [2]. Du point de vue déontologique, ce secteur doit s’efforcer d’être neutre. Donc il va s’interdire les méthodes très commerciales de ses concurrents cités plus haut, ou au pire les emprunter dans une certaine mesure, ce qui ne lui fera pas rattraper son écart d’audience. De plus une nouvelle organisation l’a mis sous la coupe directe du chef de l’état en gage de la suppression de la publicité.
Sondages
Si par définition, le média est le moyen de communication et de diffusion d’informations, alors sans aucun doute le sondage est devenu un média. Pourquoi les sondages sont-ils si importants ? Parce qu’ils servent d’auxiliaires très puissants à l’homme politique. Et soyons clair, derrière les circonvolutions du discours bienfaisant et rassembleur, le fond du propos de l’homme politique est beaucoup plus net et agressif : si vous contestez la mesure, nous avons la preuve – que vous ne pouvez vérifier – que vous êtes minoritaires.
Qui possède les instituts ?
- CSA est possédé par Vincent Bolloré, cité plus haut.
- IFOP est dirigé par Laurence Parisot, par-ailleurs présidente du Medef, organisation dont le frère de NS** fut vice-président jusqu’à fin août 2006, et invitée à la petite fête de la victoire de mai 2007 au Fouquet’s.
- IPSOS a pour administrateur notamment Nicolas Bazire, conseiller personnel de Nicolas Sarkozy et témoin de son dernier mariage. Pierre Giacometti, directeur général d’Ipsos France, lui aussi invité du Fouquet’s.
- Opinionway, a été fondé par Hugues de Cazenave. Voir cet article de politique.net [3] pour la mise en évidence de proximité politique.
Ne manquons pas d’impartialité en étant partiels, existent aussi la SOFRES qui a pour actionnaire les fonds d’investissement américain Fidelity ; LH2 (ex-Louis Harris) qui a été vendu par TNS à deux de ses dirigeants et BVA qui a pour actionnaires les fonds d’investissement Rothschild.
Sans préjuger d’une orientation politique systématique, on peut bien imaginer que, même s’il s’agit d’une minorité de sujets, les plus sensibles seront traités d’une certaine façon … ou pas du tout. Quant aux questions qui orientent les réponses c’est tellement évident, que certaines études sont tout simplement honteuses. Et les journalistes des médias de masse n’apporteront pas la précision sur les propriétaires des instituts et leurs autres activités. Ce manque de professionnalisme confine à la désinformation.
L’information libre étant consubstantielle (i.e. inséparable) à la démocratie, il est incroyable qu’une telle force, les médias, soit autorisée légalement à une telle consanguinité avec les pouvoirs économiques et politiques. Une démocratie qui laisse cela se mettre en place ne fonctionne pas correctement dans le sens constitutionnel d’un gouvernement par tou(te)s pour tou(te)s.
3. Problème de la concentration (réunion de toute l’autorité dans les mains d’un seul)
Il ne s’agit pas de stigmatiser telle ou telle entreprise qui n’a sans doute pas prospéré sans talent. Mais plutôt de montrer en quoi la situation ne convient pas.
Aucun des établissements financiers qui possèdent les médias n’a ce métier comme activité unique. Et à l’exception de Bertelsmann, le journalisme n’est pas le but premier de ces sociétés. Il s’agit même de groupes qui ont comme particularité d’avoir pour client l’état : le bâtiment, les travaux publics et les activités d’armement. Pour le dire de façon peu diplomatique, ils doivent leur pouvoir et richesses aux commandes que leur passent les politiciens avec l’argent public. Cela pose des problèmes politiques sérieux.
Ces groupes qui contrôlent la télévision ont la capacité d’utiliser le pouvoir conféré par cet outil puissant au bénéfice de leurs autres activités. Cela ne se fait pas forcément ouvertement. Mais par exemple on ne sera pas informé sur les activités en Afrique des grands groupes français, Bolloré notamment.
De plus on constate une dépendance du pouvoir politique vis-à-vis du pouvoir médiatique. Si le groupe a besoin de l’état, il a les moyens pour lui apporter tout le soutien nécessaire. Par renvoi d’ascenseur, il pourra être servi par des commandes, qui à ces échelles sont très importantes.
Malheureusement on a l’impression de répondre à la question : pourquoi ces entreprises championnes du capitalisme ont investi dans le secteur chroniquement déficitaire de la presse à l’aube du XXIème siècle ?
De surcroît ce secteur se voit maintenant financé par l’état (et donc par les citoyens) via un plan de 600 millions d’euros distribués sur 3 ans [4] à l’initiative de NS. Ne s’agit-il pas avant tout d’un cadeau à ceux qui l’ont « fait » ? Ou le genre d’opération séduction / siphonnage qu’il maîtrise ? S’il existe bien des journaux dits d’opposition tels le Nouvel Observateur ou Libération, avec sa technique d’ouverture, NS est capable de les dompter par cette aide. Qui ne serait pas séduit et donc… influencé dans son travail ? C.f. ce très bon article de Médiapart [1]. NS a bien compris l’importance de ce IVème pouvoir et continue à y étendre son emprise déjà quasi-hégémonique. Hégémonie ou consanguinité dont il tente de faire croire à l’inexistence en toute occasion.
À titre personnel je suis frappé de constater que nombre de personnes pensent que le chef de l’état est légitime dès lors qu’il est élu. Mais si, avant l’élection, celui-ci possède les chaînes de télévisions comme en Italie ou a pour amis proches les propriétaires de celles-ci comme en France (amitié expliquée ou doublée d’une convergence d’intérêts), comment peut-on croire sérieusement que cela ne pèse pas sur l’issue du scrutin, et ce de manière illégitime, hors de l’esprit démocratique ? On peut sans conteste dire que NS a été « fait » par et pour les possesseurs de groupes de diffusion.
Comment les médias servent la politique
Le principe est de ne pas faire réfléchir les gens, de les éloigner de ce qui les concerne. On est en plein dans l’application de ce propos de Paul Valéry « La politique est l’art d’empêcher les gens de se mêler de ce qui les regarde. ».
D’où l’information mièvre, vidée de sa substance, l’écran de fumée de l’actualité mondaine, l’opinion saturée avec du bruit médiatique sur des sujets mineurs. Sans oublier le maniement de l’épouvantail de la peur avec les affaires de droit commun qui semblent sorties de la presse de caniveau. « Attention, danger ! Les pédophiles sont partout, à côté de chez vous. » Ce qui est recherché, c’est le consentement au système économique en vigueur : le libéralisme mondialisé. Les multinationales, qui ont le pouvoir réel, contrôlent les médias qui œuvrent à créer les « illusions nécessaires » préalables à ce consentement. In fine le travail des médias consiste à borner le champ de réflexion politique.
Quant à la presse gratuite, la partialité est invisible derrière des dépêches aseptisées. Et le lecteur ne va pas se plaindre d’un journal qu’il n’a pas payé – directement pour le moins. Lire par exemple cet article sur ce sujet particulier. [5]
Le plus grave ce n’est pas ce fait, logique, que nos grands médias deviennent de plus en plus acteurs de la société du spectacle. Mais c’est qu’en tant qu’outils politiques fondamentaux, ils soient en train de renoncer à leur tâche d’élaboration d’un espace public de discussion et de réflexion, pour ne plus exercer qu’une fonction de propagande.
Conclusion
Bien sûr il y a des personnes qui remettent en cause l’information reçue, qui savent à quoi s’en tenir, qui ne sont pas consommatrices passives de prêt-à-penser très orienté. Mais ces personnes-là sont en nombre réduit face à l’énorme part de la population qui se préoccupe moins de ces sujets.
La question des médias est donc une question très sérieuse, qui concerne tous ceux qui refusent que les marchés pensent à leur place. Ne nous taisons pas face à la “majorité silencieuse” et tonitruante des “télés-réalités”, sachons voir que souvent le « diverti se ment ». L’information est un bien commun. Communiquer librement, un droit. Les groupes multimédias enterrent ce droit. Aujourd’hui, en France, on peut dire que le pluralisme politique dans les médias est gravement mis en cause, que les issues d’élections sont biaisées et sans doute pire encore, la réflexion personnelle qui permet l’engagement citoyen combattue.
Au vu de cela, on comprendra que le pouvoir politique actuel soit gêné par l’Internet libre. Les campagnes de dénigrement de ce nouveau média ainsi que les lois visant à contenir son impact sont en cela très inquiétantes. Et la suppression de vidéos mettant en cause la caste au pouvoir se pratique déjà. Les vidéos sur Jean S. et l’ EPAD ont été supprimées de Youtube soi-disant pour propriété intellectuelle. La prise de participation de l’état dans le portail vidéo Dailymotion [6], en toute discrétion, va faciliter encore ce contrôle. Et c’est là que la déjà forte concentration se poursuit, en commençant par le contrôle d’un générateur de « buzz ».
I) Précision : le premier actionnaire de Vivendi, serait Vincent Bolloré.
II) En lisant les commentaires de l'article, je suis tombé sur celui ci.
"
2. Cet article n’est pas mis a jour. Il manque le International Herald Tribune, journal independant edité a Paris, il manque le Groupe Next Radio TV, independant, qui edite Radio BFM, BFM TV, 01 Informatique et RMC.
3. Cet article ne mentionne pas l existence de Ouest France, journal independent et le plus lu en France, ni le Parisien et l’Equipe, qui avec Ouest France sont les seuls a faire du profit dans la presse papier. Enfin il n’est meme pas mentionné 20 Minutes et Metro, filiales fe groupes suedois de presse, independants.
"
Concernant le point "2."
Essayons les yeux fermés d'y voir plus clair.
Le groupe groupe Next Radio TV appartient à Alain Weill ... un des juifs les plus influents qui soient, et qui édite donc Radio BFM, BFM TV, 01 Informatique et RMC.
"Tous les sondages les plus récentes révèlent que plus de 70% des français ne font plus confiance aux médias et paradoxalement aux chaînes d’information les plus regardées.
On apprend que le propriétaire de BFMTV n’est autre que Alain Weill, l’un des juifs les plus riches de France et membre de la haute maçonnerie britannique.
La majorité des présentateurs vedettes de la chaîne sont également juifs et sont à l’image de la ligne éditoriale qu’ils mettent en place. Ne soyez plus surpris de voir des sujets islamophobes ou pro-israéliens..."
Une video du link concernant le groupe Next Radio TV qui possède BFM TV, RMC, etc ...
"Metro est le premier quotidien d’information gratuit édité en France (340 000 exemplaires).
Metro France est détenu à 65,7 % par Metro International et à 34,3 % par TF1 depuis septembre 2003.Depuis 2011, TF1 possède 100 % de l'édition Métro France
"Schibsted est un conglomérat norvégien du secteur des médias avec une activité dans une vingtaine de pays, notamment en Norvège et en Suède. La société a son siège à Oslo et est cotée à la bourse d'Oslo. Elle possède 20 minutes, Verdens Gang, Aftenposten, Aftonbladet, Svenska Dagbladet, Finn.no, Blocket, Leboncoin.fr, Bikhir.ma"
Ndlr : Difficulté, c'est du Norgévien! Trouvé (en mode traduction google), sur un site dont on ne peut diffuser l'adresse ni le contenu en raison de la Loi Gayssot ...
"Aftenposten, et beaucoup d'autres journaux Norvégiens, Suédois, et étrangers (dont 20 minutes en France), appartiennent à Schibsted, une famille connue pour ses sympathies sionistes".
Voilà. Peut être est ce que ce sujet sera complété au fil de l'eau. Mais en l'état il se suffit.
Pour compléter le tableau, il faudrait établir les tirages de ces journaux, les part d'audiovisuel de ces télés, radios afin de mesurer l'influence sur les citoyens de ces merdias.
Mais cela ne suffit pas. Des radios telles que France Inter, France Culture sont "auditivement" assez noyautées.
Ce que confirme un article certes excessif (mais ayant le mérite d'interloquer et de pousser à la curiosité) d'un antisioniste très connu titrant Liste d'employés de France Inter ?"
Voilà un panorama assez saisissant de l'état d'appropriation des merdias Français par des communautaristes.
Il n'existe aucune autre réalité plus dangereuse que celle ci à l'exception de la source qui l'a installée en France.
Entendre parler d'extrême droite face à une telle submersion qui d'ici 2050 nous rendra quasiment minoritaires en France, montre l'envers du décor de la propagande. Seuls des extrémistes absolus peuvent tenter de détruire des pays par des invasions d'une ampleur jamais égalée dans toute l'Histoire des pays d'Europe.
Déraciner si rapidement des peuples, est l'oeuvre de fous. De malades mentaux.
Qu'il faudra juger pour les crimes de guerres et les drames à venir dont ils sont responsables.
Nombre de ces porcs s'enfuiront avant.
A quoi sert aujourd'hui de s'exposer officiellement dans son combat?
Pratiquement à rien.
L'extrême droite arrivera au pouvoir d'une manière ou d'une autre et elle devra informer le peuple sur la manière dont les choses ont pu se produire pour que la France en arrive à ce stade d'invasion.
Le peuple comprendra inévitablement un jour des vérités cachées et connaîtra les vrais responsables du conditionnement.
La masse s'éveille enfin après avoir, par sa léthargie voire par sa cécité, permis la destruction du pays.
Les traîtres politiques et journalistes ne sont en rien seuls responsables du désastre.
Aujourd'hui, une Loi, interdit à des gens d'exprimer publiquement leurs opinions, sur une certaine partie de la seconde guerre mondiale. Cette Loi, disparaîtra. Inévitablement.
Mais des gens qui se seront hier et aujourd'hui, battus contre elle, sont enfermés en prison.
La masse comme en 1945 jouera à la résistance. L'Histoire, c'est avant tout une putain qui se donne à celui qui a le pognon et le pouvoir.
L'Europe reverra bientôt son Histoire et certains grands Hommes, seront honorés demain, tandis qu'ils sont encore détestés et emprisonnés aujourd'hui.
Comme dans le "Tour de France", en une épreuve de plaine, ou le spectacle n'est qu'artificiel et le suspense quasi nul, des échappées font le show mais le peloton (la masse) finit toujours par les rattraper sans s'être spécialement exposé, fatigué, ou avoir réfléchi pour parvenir à ce résultat.
Qu'on pense bien à cette parabole qui décrit une réalité : l'heure des choses, c'est l'heure de la masse, pas avant.
Aujourd'hui, et hier :
Combattre seul ne sert à rien qu'à donner satisfaction et plaisir à l'adversaire. L'adversaire communautarisé et leurs disciples / esclaves mondialistes, n'aura jamais "peur" que d'une masse, d'un bloc, uni et hostile.
C'est pourquoi, le seul objectif primaire, primordial doit être d'informer les masses sur la singularité médiatique trônant indiscutablement sur la France.
Chacun de son côté doit faire cela.
Il peut se référer à des sources originales mais devrait éviter de citer ceux qui sont allés chercher ces sources originales afin de :
- multiplier les chances d'impact d'un côté par la multiplicité des sites d'informations
- de ne pas faciliter la tâche de certains censures inacceptables.
"Combattre dans l'ombre", discrètement, rester lisse comme un cul en société, et dans l'anonymat, chercher à informer les masses et à apporter une lumière nouvelle sur ce qui se passe.
C'est une méthode de guérilla. La seule qui démontre sa capacité à nuire gravement à des adversaires trop puissants et qui ont des coups d'avance.
Aborder des causalités que le système ne fera jamais entrevoir alors qu'une énorme singularité dans le PAF et les autres merdias français et telle que la vérité sur les médias Français n'est JAMAIS abordée, soumise à investigation, analysée, et pour cause ...par les merdias.
L'heure du combat (et de la mort pour des cons votants), viendra hélas bien assez tôt comme le dit Le Pen aux dernières FNJ (cf son dernier journal de bord).
http://www.polemia.com/assimilation-la-fin-du-modele-francais-de-michele-tribalat-une-deuxieme-analyse/
"La démographe Michèle Tribalat, qui a publié en 2010 un essai particulièrement « décapant » intitulé Les yeux grands fermés (éditions Denoël), réitère avec un ouvrage consacré au modèle assimilationniste français qui va susciter autant de critiques que le précédent de la part de la nomenklatura intellectuelle et journalistique. Cet ouvrage est intitulé Assimilation : la fin du modèle français et il a été publié en septembre par les éditions du Toucan.
Comme elle l’avait fait dans son précédent ouvrage, Michèle Tribalat expose les difficultés rencontrées par les chercheurs qui étudient les flux migratoires en France du fait d’un « désordre statistique inextricable » auquel « les institutions dont ce devrait être l’un des intérêts majeurs, qu’il s’agisse du département de démographie à l’INSEE ou de l’INED, n’accordent pas l’attention qu’ils devraient ». De plus, « il semble que le solde migratoire global combine un solde négatif des natifs ou des nationaux et un solde positif des immigrés ou des étrangers. C’est pourquoi il apparaît si faible en France ». Cette notion de solde migratoire global a, bien évidemment, pour but de relativiser l’importance de l’immigration étrangère.
Un des poncifs les plus fréquents tend à affirmer la stabilisation voire la décrue de l’immigration dans notre pays, ce que notre démographe nie catégoriquement :
« Il y a bien eu une stabilisation, mais seulement sur la période 1975-1979. Pendant ce quart de siècle, la population immigrée a crû à peu près au même rythme que celle des natifs, soit une croissance de 11% sur l’ensemble de la période. Depuis 1999, la population immigrée a augmenté de 24% en 10 ans. Le nombre des natifs n’a progressé, lui, que de 5% sur la même période. La proportion d’immigrés est donc passée de 7,4% en 1999 à 8,5% en 2009. En termes relatifs, l’accroissement de la proportion d’immigrés est voisin de celui observé pendant les Trente Glorieuses, période que personne n’oserait qualifier de stagnation migratoire. La France est donc sortie de sa phase de faible intensité des flux migratoires qui a effectivement suivi la suspension de l’immigration de travail en 1974 et a duré un quart de siècle, pour entrer dans un nouveau cycle migratoire. Elle connaît la proportion d’immigrés la plus élevée de son histoire ».
Cette immigration record se traduit par une augmentation sans précédent de la part de la population qui est étrangère et d’origine étrangère, soit 11,7 millions en 2009 (cette estimation effectuée par l’INSEE ne comprend que deux générations : immigrés et enfants d’au moins un parent immigré) et 19% de la population totale ! Le taux d’accroissement de la population immigrée et d’origine immigrée a été voisin, entre 1999 et 2008, de 18 pour mille quand celui des natifs a été de 4 pour mille seulement. Compte tenu du fait que les dirigeants de l’Union européenne ont entériné l’idée que l’avenir démographique de l’Europe passe par l’immigration, nous allons connaître, si rien ne change au plan politique (mais rien n’est moins sûr que la pérennité de cette organisation calamiteuse), des jours pour le moins difficiles parce que, comme l’écrit Michèle Tribalat, « cette politique aura un prix dont les citoyens européens ne sont pas encore complètement conscients. Quand on délègue son destin à d’autres, on ne peut guère s’attendre à en conserver la maîtrise ».
Michèle Tribalat estime le nombre de musulmans résidant en France à 4,2 millions à la fin de 2008 (la population totale était alors de 62.469.000) mais l’accroissement démographique des musulmans a été de 151.000 en 2008 et celui des non-musulmans de 180.000 seulement ; nous allons donc atteindre le chiffre de 5 millions de musulmans à la fin de cette année et celui de 6 millions en 2020. « La forte croissance démographique de la population musulmane est (donc) favorisée par ses caractéristiques démographiques : grande jeunesse et fécondité élevée. L’apport annuel, par l’immigration, de personnes relativement jeunes en âge d’avoir des enfants contribue au dynamisme démographique des musulmans ». La France est le pays qui compte le plus de musulmans et dont la part relative de la population musulmane est la plus importante en Europe après celle de la Bulgarie.
L’évolution de la communauté musulmane en matière de religion est à l’opposé de celle des natifs dont la sécularisation s’amplifie régulièrement. Contrairement à tous les pronostics, les jeunes générations de musulmans sont de plus en plus pieuses et respectueuses des règles et interdits de l’islam : « On assiste (donc) à une forme de durcissement identitaire qui sépare les musulmans des autres, renforce le contrôle social et pèse sur la liberté des fidèles mais aussi sur celle des non musulmans ».
Michèle Tribalat constate que le raidissement des musulmans a des conséquences sur la communauté musulmane mais aussi sur les natifs : « Ces interdits concernent tous les aspects de la vie privée et sociale et, comme il est interdit de médire de l’islam, les non-musulmans se sont trouvés eux-mêmes visés dans ce qu’ils ont de plus cher : la liberté d’expression. Après l’affaire Rushdie, l’intimidation est devenue monnaie courante. On risque à nouveau sa vie en Europe, mais aussi aux Etats-Unis, à dire, écrire, figurer ce que l’on pense. Les ajustements à l’intimidation par la censure, l’autocensure, la langue de bois et, quelquefois, le ralliement ont remis les Occidentaux dans la position d’avoir à plier ou se battre pour reconquérir ce qui leur semblait définitivement acquis. »
L’assimilation devient impossible pour deux raisons : d’une part, du fait de la séparation entre populations natives et populations immigrées qui a été étudiée par Christophe Guilluy (Fractures françaises, François Bourrin éditeur, 2012) et, d’autre part, du fait de la politique d’intégration mise en œuvre par l’oligarchie européenne.
Les élites comptaient sur le brassage des populations natives et immigrées au sein des classes sociales les moins favorisées pour assurer l’assimilation des nouveaux venus ; ces dernières avaient donc la charge de régler l’énorme problème posé par l’arrivée de ces masses étrangères à notre culture, tout en étant systématiquement dénigrées par des élites qui valorisent l’Autre et méprisent leur culture et leur histoire ; la réaction des natifs, totalement imprévue, a consisté à se séparer en fuyant dans les zones péri-urbaines, loin des immigrés. De ce fait, l’assimilation devient impossible et ce d’autant plus que la politique d’intégration imposée par l’Union européenne va dans le sens d’une valorisation des cultures des immigrés.Les oligarques de Bruxelles considèrent, en effet, que l’immigration et la diversité qu’elle induit sont une chance pour l’Europe, sans en avoir jamais fait la démonstration ; on peut d’ailleurs raisonnablement penser le contraire : un ensemble politique est d’autant plus stable et cohérent qu’il est homogène.
En survalorisant l’Autre, les oligarques ont réveillé les sentiments nationaux assoupis qu’ils essayent de détruire ; en mettant l’accent sur la diversité et en valorisant les appartenances ethniques des minorités, ils ont fait surgir la question identitaire chez les « natifs au carré ». « Si les personnes d’origine étrangère ont une identité si précieuse qu’il faille se mobiliser pour la préserver, pourquoi n’en irait-il pas de même pour les natifs au carré ? ». La désécularisation des musulmans s’ajoute au mouvement de séparation volontaire des natifs et renforce le processus de séparation des différentes communautés.Contrairement à ce qu’affirment ceux qui pensent, comme Emmanuel Todd (ndlr : aucun support d'expérience au niveau mondial ne peut venir justifier une telle affirmation de ce petit-neveu, démographe de l'INED de Claude Lévi-Strauss), que les populations immigrées et natives vont se fondre dans un heureux melting pot, Michèle Tribalat constate une fragmentation ethnoculturelle de notre société qui est une source de tensions et d’affrontements.
Un certain nombre d’indices permettent de penser que pour les « natifs au carré », désormais, la coupe est pleine.
Malgré une propagande digne des régimes totalitaires, le rejet de la politique menée par l’oligarchie immigrationniste prend une ampleur qui commence à la faire paniquer ; la question identitaire est désormais au cœur de la problématique politique française et européenne.Michèle Tribalat souligne les difficultés qui rendront difficile le changement de politique en matière d’immigration et qui sont, outre les traités internationaux signés par la France, les engagements contractés au sein de l’Union européenne ; mais elle évoque la possibilité que le changement de politique dans quelques pays européens pourrait permettre un changement radical dans l’ensemble de l’Europe.
Bruno Guillard
Source : Polémia - 13 octobre 2013 - Bruno Guillard
NB : Que 5 millions (ou 6 millions en 2020...) de musulmans en France? En attendant de disposer d'outils qui ne sont pas fournis par la pravda, le doute est plus que permis.
Dans une très récente présentation à la Ford School, l’ancien secrétaire d’État Henry Kissinger a commenté la situation syrienne actuelle, en exprimant sa préférence pour un pays brisé et balkanisé émergeant de l’unité actuelle contrôlée par Assad [1] :
« Il y a trois résultats possibles : une victoire d’Assad, une victoire sunnite ou un résultat dans lequel les différentes nationalités acceptent de cohabiter ensemble, mais dans des régions plus ou moins autonomes, de sorte qu’elles ne puissent pas s’opprimer les unes les autres. C’est l’issue que je préférerais voir. Mais ce n’est pas une opinion populaire. »
Après avoir été présenté comme « l’honorable Dr Kissinger », l’ancien homme d’influence âgé de 90 ans a commencé par une leçon d’histoire intéressante. Kissinger a expliqué en détail comment l’État actuel de la Syrie avait été conçu par les puissances européennes, comme ce fut aussi le cas avec l’Irak :
« Tout d’abord, la Syrie n’est pas un État historique. Elle a été créée sous sa forme actuelle en 1920, et elle a reçu cette forme afin de faciliter le contrôle du pays par la France, après le mandat de l’ONU. L’Irak, pays voisin, a également reçu une forme étrange, dans le but de faciliter le contrôle par l’Angleterre. Et la forme des deux pays a été conçue afin de rendre difficile aux deux pays la domination de la région. »
En raison de ses origines anhistoriques, Kissinger a expliqué que la Syrie actuelle a été conçue comme une unité nationale plus ou moins artificielle composée de différentes tribus et groupes ethniques. Puisque la récente « révolution » devient de plus en plus chaotique, Kissinger fait des remarques sur la nature de la situation actuelle :
« Dans la presse américaine, la situation est décrite comme un conflit entre la démocratie et la dictature – et le dictateur est en train de tuer son propre peuple, et nous devons le punir. Mais ce n’est pas ce qui se passe. Ce conflit a peut-être été lancé par quelques démocrates. Mais dans l’ensemble c’est un conflit ethnique et sectaire. [...] C’est maintenant une guerre civile entre les groupes sectaires [...]. Et je dois dire que nous l’avons mal compris dès le début. Si vous lisez nos médias, ils disent que nous devons nous débarrasser d’Assad. Et si nous nous débarrassons d’Assad, alors nous pouvons former un gouvernement de coalition. C’est inconcevable. Je suis tout à fait pour qu’on se débarrasse d’Assad, mais le conflit entre les Russes et nous sur cette question, c’est que les Russes pensent : vous ne commencez pas seulement par vous débarrasser d’Assad, ce n’est pas le problème, mais vous désintégrez aussi l’administration d’État pour vous retrouver comme en Irak – sans rien pour maintenir l’ensemble. Et puis vous aurez une guerre civile qui s’aggravera. C’est ainsi que ce désordre a pris sa forme actuelle. »
Kissinger a auparavant fait des remarques concernant les avantages de briser les nations dissidentes en petits fragments, après quoi le chaos émergeant peut faciliter leur introduction dans un ordre mondial. C’est en substance la règle du diviser pour mieux régner. Ces observations récentes de Kissinger sont en phase avec les déclarations antérieures dans lesquelles il promulgue l’idée que les bouleversements sociaux et les troubles civils de masses doivent être utilisés comme des moyens pour fusionner les nations (y compris, par ailleurs, les États-Unis) dans un « système international ».
« Les États-Unis doivent faire partie d’un système international que nous créons au niveau national », a déclaré Kissinger au Harvard Crimson en 2012. Lorsqu’on lui a demandé quels étaient les problèmes les plus importants auxquels la société américaine devait faire face aujourd’hui, il a alors répondu :
« Au niveau international, le problème est qu’il y a des bouleversements en cours dans chaque partie du monde, mais ces bouleversements ne suivent pas les mêmes causes fondamentales, donc les États-Unis doivent faire partie d’un système international que nous créons au niveau national. »
Le concept consistant à s’emparer des crises et des bouleversements, dont les causes peuvent différer de nation à nation, afin de parvenir à un ordre international, suit soigneusement la règle d’or de l’élite, à savoir qu’un ordre mondial provoqué par le chaos est préférable. En outre, Kissinger nous donne un aperçu de l’intention sous-jacente, que lui et ses compagnons du Bilderberg ont à l’esprit, en indiquant en quelques mots que les troubles civils – qu’ils soient motivés économiquement, politiquement ou socialement – doivent être saisis afin de fusionner les pays en un « système international » désiré.
Dans un article de Prisonplanet.com de décembre 2008, Steve Watson écrivait que Kissinger, dans une interview pour Charlie Rose, le chouchou des Bilderberg, « a cité le chaos provoqué à travers le monde par la crise financière et la propagation du terrorisme comme une occasion de renforcer un nouvel ordre mondial ».
Kissinger avait dit à Rose, il y a quelques années :
« Je pense que lorsque la nouvelle administration évalue la position dans laquelle elle se trouve, elle voit une énorme crise et des problèmes terribles, mais je considère qu’elle peut y voir une lueur d’espoir d’où pourrait sortir un système international [2]. »
Cette conversation à propos des crises et des bouleversements comme étant de simples moyens spécifiques à chaque pays vers un objectif mondial centralisé pourrait indiquer un plan transnational sous-jacent. Un concept sinistre qui suit le cours de la dialectique hégélienne classique, à savoir que le problème (qu’il soit réel ou feint) provoque la réaction qui en retour permet à l’élite de fournir une solution sur un plateau d’argent. Les paroles de Kissinger me rappellent de façon inquiétante celles écrites par Alexander Wendt de l’université de Chicago, qui en 2003, dans son traité intitulé Pourquoi un État mondial est inévitable : la téléologie et la logique de l’anarchie, a déclaré :
« Les luttes nationalistes pour la reconnaissance ne sont nullement terminées, et plusieurs nouveaux États – “plus d’anarchie” – peuvent encore être créés. Mais alors que davantage de fragmentations sont d’une certaine façon un recul, elles sont également des conditions préalables pour aller de l’avant, car c’est seulement lorsque les différences sont reconnues que les identités peuvent être plus stables. (...) Loin de mettre fin au nationalisme, un État mondial ne sera possible que s’il embrasse celui-ci. »
Ces paroles peuvent faire la lumière sur celles prononcées par Kissinger et ses collègues supranationalistes, qui révèlent en substance qu’ils sont très conscients du fait que la simple proposition d’un État mondial ne se fera pas – et que cela peut même échouer si celui-ci est proposé trop directement – et que le même objectif peut être mieux réalisé par la fragmentation et la balkanisation des États-nations, que ce soit à l’Est ou à l’Ouest, pour ensuite fusionner ces fragments dans une construction globale, généralement décrite comme le Nouvel Ordre mondial.
Paul Weston est un homme politique anglais, il a représenté plusieurs fois The International Free Press Society.
Les grands partis politiques anglais et les grands médias le qualifient de raciste du fait de son opposition à la submersion de son peuple par l’immigration et de son opposition à l’islamisation de son pays.
“Tellement de gens me l’ont dit [que j'étais un raciste] que ce doit être vrai.” “Donc évidemment j’en suis un ! “
Paul Weston expose pourquoi il est un “raciste et un “islamophobe” selon la novlangue actuelle. Sous-titres français.
Depuis l’arrivée au pouvoir de François Hollande, tant par le fait des événements internes qu’internationaux, la vieille démocratie française se dégrade rapidement. Son entrée en agonie apparaît certaine mais personne n’est en mesure de dire le temps qu’elle mettra à rendre l’âme ou si les Français par un mouvement salutaire viendront à son secours avant qu’il ne soit trop tard.
Tous les indices sont dans le rouge, des manifestants sont placés en garde-à-vue pour des prétextes inexistants, des opposants sont arrêtés et emprisonnés parfois dans des conditions inhumaines et dans une violence terrifiante. Dans les manifestations, des agents des RG et des agitateurs stipendiés répandent le chaos afin de discréditer les causes défendues par les protestataires. Dans les rues, les témoignages d’opposants passés à tabac, matraqués, piétinés se multiplient dangereusement. Parmi les témoins certains citent des propos inouïs de policiers en civils, insultes, menaces à peine déguisées, intimidations. Le pouvoir en place entretient également les divisions pour mieux régner, dissolutions de groupes étiquetés à l’extrême-droite et dans le même temps ménagement des forces se trouvant à l’extrême-gauche, le tout en jouant les uns contre les autres en fonction des situations.
Le mauvais exemple règne évidemment surtout en haut-lieu, l’équipe gouvernementale est elle-même entachée d’opprobre, un Premier ministre et quatre autres ministres dont Mme Taubira ont été condamnés à des amendes et à des peines de prison. L’affaire DSK, puis celle de Cahuzac démontrent à quel point les milieux politiciens sont vermoulus et friables à toutes les tentations. Loin de punir, la Justice fonctionne à deux vitesses, de grands coupables reçoivent des peines insignifiantes tandis que de pauvres hères, voir dans le cas des opposants de simples citoyens innocents sont condamnés à des peines disproportionnées. Dans le même temps le pouvoir donne l’exemple de toutes les corruptions, des responsables de parti comme Harlem Désir, grossièrement pris la main dans le sac, sont nommés à des postes clés et sapent la confiance populaire.
Cette confiance populaire s’effondre rapidement devant le progrès du népotisme à tous les niveaux de l’Etat. Initié sous l’ère Mitterrand, c’est désormais l’un des traits principaux de la République française : nominations d’amis de François Hollande à tous les postes possibles même sans qualification dans la charge qui leur incombera, distribution de Légion d’Honneur à des personnages louches, étrangers ou n’ayant absolument rien fait pour mériter cette distinction par un service éclatant au pays, l’appareil du pouvoir est à un niveau de putréfaction dont les Français ne ressentent pour l’instant que les relents putrides, mais d’encore beaucoup trop loin. Les exemples sont en effet si nombreux que ceux qui arrivent à la surface et explosent par mégarde dans les journaux ne peuvent cacher l’immense majorité des malversations, vols et passe-droits qui eux ne sont jamais révélés au public.
Ces collusions nombreuses et les viols les plus élémentaires des droits des Français et de la France elle-même, se traduisent par d’inquiétants événements dans les relations extérieures de la France. Dans les médias sous contrôle et d’ailleurs financés par l’Etat partiellement, il ne se passe pas un jour sans que des pays comme la Russie soient montrés du doigt afin de créer un contraste entre le paradis terrestre en France et le reste du monde en proie à la guerre et à la dictature. Cette basse propagande martèle en permanence des contre-vérités, quand il ne s’agit pas tout simplement de mensonges éhontés. Pendant ce temps, des meurtriers et des islamistes sanguinaires sont armés en Syrie, en Libye et dans nombre de pays d’Afrique et d’Asie. Des régimes fantoches sont fait et défait, des plans sont établis pour l’asservissement de populations ou le contrôle de ressources diverses parfois pour le meilleur profit d’alliés douteux… voir même dangereux comme le Qatar, l’Arabie saoudite ou les USA.
Car la France est aujourd’hui l’ombre d’elle-même au niveau international. Malgré les avertissements de De Gaulle, la France est entrée à nouveau dans l’OTAN par la décision de Nicolas Sarkozy. Ailleurs des interventions militaires coûteuses se développent, au Congo, au Niger, au Mali, sans compter la Libye, la Côte d’Ivoire derrière nous et la Syrie, l’énorme farce syrienne où un ministre, complètement discrédité dans une sombre affaire de sang contaminé, vient vendre aux Français le mirage syrien pour faire couler un autre sang dans des contrées lointaines et souvent au détriment de chrétiens et de petites gens. La situation internationale est sans doute le reflet le plus éclatant de la décomposition de la démocratie française, encore que l’intérieur du pays soit déjà en ébullition et en grand danger.
Ce danger c’est celui de l’explosion sociale, dans les banlieues les malaises attisent la violence, la haine et le racisme. En réponse à celui visant les populations greffées sur la Nation, progresse le racisme anti-blanc et anti-français, ce dernier d’ailleurs n’étant jamais cité. Des drapeaux français sont brûlés, l’insécurité progresse, des zones sont hors contrôle et à la merci de la moindre étincelle. Dans les rues, la moindre manifestation, même sportive, peut tourner au drame et à la confrontation. Dans les assemblées des politiciens de gauche discutent de l’opportunité de prendre le contrôle d’internet et de museler la parole des oppositions. Partout d’ailleurs, l’ennemi, l’opposant est qualifié de « fasciste » sans le moindre discernement, ce qualificatif dévoyé est devenu une arme du pouvoir pour faire taire les plus audacieux et effrayer la masse des citoyens apeurés.
Dans les mêmes assemblées, le pouvoir confisqué est assuré par deux formations, aujourd’hui souvent réunis sous le qualificatif d’UMPS. La fin de la proportionnelle a écarté toutes les autres formations, certaines comme le FN, le FG ou EELV devraient disposer de dizaines de députés et former des groupes parlementaires puissants mais ne sont représentés souvent que par deux ou trois malheureux députés noyés dans le système. Devant un constat aussi calamiteux certains trouvent encore la force de déclarer que les changements font peur… ou que « la France est le plus beau pays du monde ». Oui mais pour combien de temps encore ?
Les opinions exprimées dans cet article n'engagent que la responsabilité de l'auteur.
Source :
La Voix de la Russie - 29 Juin 2013 - Laurent Brayard